Soumise à un Algérien (3)
Datte: 08/11/2020,
Catégories:
Hétéro
Auteur: blois, Source: Xstory
... semble un bureau.
— Entrez !!!
Nous a indiqué une voie d’homme.
— Haaaaa !!! Ma chère Fadila.
Nous sommes dans un bureau avec principalement des bibliothèques, l’homme se lève de derrière son bureau à notre arrivée.
— Amy, je vous présente Fadel Boussouf, Fadel, je te présente Amy Leroux.
C’était un homme, la cinquantaine, un bon ventre pas très grand avec des lunettes rondes, les cheveux gris dégarnis avec le collier de barbe gris et blanc, habillé d’un costume noir et d’une chemise blanche bien tendue, il a des auréoles sous les bras, sa veste est posée sur le dossier de sa chaise.
— Enchanté, Madame Leroux.
— Enchantée, Monsieur Boussouf.
— Amy, vous connaissez déjà mon mari, pointant du doigt à ma surprise un canapé sur la gauche de la pièce.
— Oui, je réponds en regardant Benaissa assis dans le canapé, me reluquant avec toujours le même sourire.
— Le mari d’Amy présente un roman aujourd’hui dans ta librairie, ajoute Madame Benaissa.
— Ah !! Très bien, ravi de vous accueillir.
— Merci à vous Mr Boussouf.
— Asseyez-vous, m’indique Mr Boussouf, montrant du doigt le canapé où est Benaissa.
Je me dirige vers le canapé et m’assois en croisant les jambes sur le canapé cuir marron trois places, à l’opposé de Benaissa.
— Fadila, ne t’attarde pas trop, tes invités vont se demander où tu t’es rendue, indiqua Benaissa à sa femme.
— En effet, je vous laisse, à toute à l’heure.
Elle a quitté la pièce, j’étais seul avec les deux ...
... hommes. Mr Boussouf est venu se placer face à moi, s’asseyant sur une chaise de son bureau, nous étions séparés d’une table basse.
— Puis-je vous offrir un thé Madame ?
— Oui, merci.
Nous avons discuté, Benaissa était courtois, Mr Boussouf déposait souvent les yeux sur ma jupe surtout quand je décroisai les jambes pour prendre mon thé, je gardais les cuisses bien serrées.
Il commençait à faire chaud dans la pièce, j’ai déboutonné ma veste pour l’ouvrir légèrement, Boussouf discutait avec Benaissa. Contrairement à eux, je n’avais pas l’habitude de la chaleur. J’ai fait le geste d’ouvrir et fermer ma veste pour me ventiler et Boussouf a tendu le bras en me disant avec un sourire amical:
— Donnez-la-moi, vous aurez moins chaud.
— Non, ça va aller, merci.
— J’insiste, vous avez trop chaud, me dit-il, toujours le bras tendu.
— OK.
Je décroise les jambes sous les yeux de Boussouf, Benaissa ne bouge pas, le coude sur le bord du canapé, je me remets droit pour pouvoir ôter ma veste, en passant mes mains dans mon dos, Boussouf a une vue privilégiée sur mon chemisier tendu qui laisse apparaître mon soutien-gorge à dentelle.
Je lui tends ma veste qu’il pose sur le dossier d’une chaise.
A ma demande, il m’a servi un verre d’eau, nous avons continué la discussion sur la journée de découverte d’écrivain.
Après une vingtaine de minutes, Benaissa a ajouté :
— Je vois que vous avez encore chaud, ouvrez votre chemisier.
— Non, ça va aller.
— J’insiste, ...