1. Baisée par le copain de mon fils (1)


    Datte: 07/11/2020, Catégories: Erotique, Auteur: paulpogba6, Source: Xstory

    ... membre du sous-vêtement dont il se débarrasse prestement et qui va atterrir au pied du lit. Déjà, je me retrouve avec son phallus dressé entre mes doigts. Je le branle une ou deux fois mais il me fait comprendre que c’est ma bouche qu’il veut sentir autour de son gland. Dans un éclair de lucidité, je me fais l’effet d’une vieille traînée mais je ne peux pas résister et j’embouche le nœud écarlate.
    
    Je passe la langue dessus et Mathieu gémit de plaisir sous mes caresses impudiques de femme mûre indigne.
    
    Je le pompe ainsi pendant quelques instants qui me semblent durer une éternité. Je suis maintenant complètement trempée. Ma chatte baigne dans mon jus, ma culotte est détrempée. Mon jeune amant choisit de m’interrompre. Il se déshabille entièrement et m’invite à m’allonger à mon tour, d’un geste ferme, étonnamment sûr de lui pour son âge. Mon slip disparaît comme par enchantement et je me retrouve les cuisses écartées bien à fond, le visage de mon partenaire disparaissant entre mes jambes gainées de noir. Il colle ses lèvres contre mon sexe et je sens déjà sa langue qui m’ouvre en deux, m’arrachant un frisson de bonheur. Il ouvre mes nymphes et débusque mon clito qu’il suce adroitement. Sa grosse langue râpeuse s’engouffre dans mon trou et me remplit presque entièrement. Je tiens sa tête et lui fais comprendre que je veux me sentir encore mieux comblée.
    
    Le copain de mon fils me grimpe dessus. Il place son bassin entre mes cuisses et pointe le bout de son chibre ...
    ... sur ma fente qu’il vient de si bien préparer. Son gland pousse sur mes lèvres de chatte et je comprends qu’il entre en moi. Quel bonheur ! À ce moment-là, je me trouve tellement chienne ! Mathieu se met à me limer de plus en plus vite. Mes jambes sont ouvertes à 180 degrés et je me tiens tant bien que mal à sa taille pendant qu’il me bourre comme une bête. Sa queue me lime de fond en comble. Le bout de l’engin bute contre ma matrice et m’arrache des cris de plaisir à chaque nouvelle butée.
    
    Le jeune homme est déchaîné. Au bout d’un moment, c’est lui qui me retourne, presque comme une crêpe. Il me met sur le ventre puis m’oblige à m’agenouiller. Mon cul est cambré au maximum et je lui offre une cible idéale. Sa pine vient de nouveau frotter contre ma moule. Il la fait passer tout au long de ma fente, du clitoris jusqu’au trou du cul. Je crains un instant qu’il ne décide de m’enculer. Heureusement, c’est dans mon fourreau vaginal qu’il s’enfile une nouvelle fois. Il me prend encore plus à fond qu’avant. Son ventre cogne contre mes fesses et ma tête frotte sur le lit. Je ne retiens plus mes hurlements de plaisir. Mathieu est de plus en plus gros en moi, je me sens comme écartelée par son jeune phallus qui me déchire. Il me tient par les hanches et me pilonne bestialement. À cette heure, je suis un animal. À tel point que lorsqu’il sort de moi, juste avant de jouir, je ne peux m’empêcher de me jeter sur sa queue pour prendre sur le visage tout le foutre bien chaud qu’il m’a ...