Petit jeu pour vous les hommes - Histoires de Sexe

Petit jeu pour vous les hommes

... geste élégant et rejoint la caravane.

Sitôt entrée, elle enfile un petit paréo à même sa peau nue et prend place à la petite table de séjour après avoir servi deux thés glacés.

Vous apprenez alors qu’elle est la compagne française d’un catcheur plein aux as qui est amoureux de la France et des Françaises. Il est très jaloux et elle est sans doute très infidèle. Du moins c’est l’opinion que vous vous en faites.

— Et vous, que faites-vous dans la vie, à part accompagner votre dieu du catch ?

La question est peut-être un peu directe mais après tout, c’est elle qui m’a proposé d’entrer.

— Ah ? Je suis strip-teaseuse !

Et là, vous parvenez à conserver votre calme et à taire une remarque pleine de préjugés sur ce métier, comme on doit lui en servir à chaque fois.

— Eh bien ce serait avec plaisir que je prendrais quelques clichés, puisque le nu est une seconde peau pour vous.
— Pourquoi pas !

Sur cette réplique, elle fouille dans le tiroir d’un petit buffet et en sort un appareil numérique.

Elle attrape alors un CD et le glisse dans la chaîne hi-fi haut de gamme de la caravane. Vous reconnaissez dès les premières notes…

* Rendez-vous en 77.

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Vous êtes sûr de vous et vous placez en face d’elle.

— Ce sera déjà très plaisant, surtout avec le joli petit cul que tu as ! J’ai hâte de te faire grimper aux murs avec ma grosse artillerie ! Tu dois être terrible au lit…
— C’est ce qu’on va voir. Et qu’as-tu envie de me faire ?
— Te prendre bien ...

... fort et te faire crier comme jamais un mec ne l’a fait, passer tous les fantasmes d’homme.
— Et mes seins, alors ? Tu leur feras quoi ? demande-t-elle en se collant à vous et en plaquant vos deux mains sur sa poitrine.
— Je ne les oublierai pas : juste avant ton cul…

Elle se frotte légèrement à vous et frôle votre bouche avec la sienne. Vous tentez de l’enlacer et de l’embrasser et elle semble se laisser faire quand… elle vous met un monumental coup de genou dans les couilles !

La douleur est tellement vive que vous émettez un horrible cri puis des plaintes qui parviennent presque à apitoyer Benoît.

— Pour qui est-ce que tu me prends, espèce de petit con prétentieux ? Je ne suis pas une pute et tu peux y mettre tout le fric que tu veux, jamais tu ne seras à la hauteur ! Je n’ai jamais pris de fric pour faire l’amour et je choisis très bien toute seule l’homme qu’il me faut ! Regarde ce que c’est qu’un homme ! crache-t-elle, méprisante, en désignant Benoît.

Vous l’entendez à peine dans la mesure où, les deux mains entre les jambes, vous continuez à vous rouler par terre de douleur ! Les deux jeunes tourtereaux prennent congé de votre misérable carcasse éplorée et vous éjectent sur le chemin. Récupérant peu à peu vos esprits et la douleur diminuant, vous entendez au bout de quelques minutes des plaintes de plaisir venant de la tente de vos deux hôtes du soir. Florence a visiblement oublié votre goujaterie et trouvé tout le réconfort nécessaire…

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Vous pensiez ...