Myrmée
Datte: 07/11/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
hotel,
fsoumise,
hdomine,
Oral
fsodo,
sm,
attache,
yeuxbandés,
fouetfesse,
Auteur: Aenean, Source: Revebebe
... que c’est supportable. Myrmée connaît le "safe word", elle l’a choisi elle-même. Je lui demande de me le dire – elle refuse, rejetant l’idée même de prononcer ce mot. Je lui rappelle que si elle n’est pas bâillonnée, c’est pour son bien, pour lui apprendre à se taire sans artifices.
Je lui propose de continuer, elle accepte. Je tourne autour de ma proie, me positionnant à la recherche de l’efficacité maximale. Les coups se succèdent, calmement. Myrmée a tout son temps pour profiter de chacun d’eux, de savourer chaque contact.
Je prends la laisse qui pend à son cou. Je m’assois sur le lit et la positionne face à moi, debout les jambes écartées. Une fois de plus, son entrejambe est trempé, son jardin secret suinte de sa liqueur intime. Il est temps pour moi de sanctionner le port du pantalon. Une fois de plus, Myrmée proteste, me supplie. Veut-elle utiliser le safe word ? Le silence remplace les paroles devenues inutiles. Fesses et cuisses, inaccessibles sous cet incongru vêtement sont caressées par les lanières du martinet.
J’aime ma chienne. Je décide de lui donner ma virilité à goûter. Les yeux bandés, elle se met à genoux devant le lit. Je lui ordonne d’ouvrir mon pantalon, de sortir mon sexe. Elle tend ses mains pour s’exécuter. Je lui rappelle le mot que j’ai employé : "goûter", ce qui exclut les doigts et les mains. Elle comprend ma demande, tend son cou, commence son travail avec sa bouche, ses dents. Naturellement, elle a remis ses mains dans son dos… La ...
... ceinture de mon pantalon est un bien grand obstacle. Myrmée ne sait trop comment la prendre. La cravache, douce et ferme, est un excellent stimulus. Mon sexe est en érection, rien qu’à voir Myrmée se démener, à sentir son souffle sur mon corps. Mon slip lui est aussi délicat à manœuvrer. Elle me dira plus tard avoir eu peur de me pincer, aveuglée qu’elle était. Mon sexe est enfin libre ! Je caresse sa joue avec, elle cherche à l’aspirer, je me refuse à elle, subtil jeu du serpent et de l’oiseau de proie.
Les minutes passent, vicieuses, interminables pour elle. Je lui demande enfin ce qu’elle espérait tant : de me donner du plaisir. Elle approche une nouvelle fois ses mains de mon phallus. Cette fois encore, je lui refuse cette aide, lui ordonnant de ne procéder qu’avec la bouche, et gare aux dents ! Prenant ses cheveux en main, je guide la bouche et la langue de ma soumise. Du bord des lèvres au fond de sa gorge, je l’explore, je profite de ces instants. J’apprendrai plus tard que jamais un homme n’était allé aussi loin dans sa bouche, dans sa gorge.
Myrmée recueille goulûment ma jouissance dans sa bouche. D’instinct, elle lèche mon gland, ne voulant rien perdre de ce précieux nectar. Je la remercie, je la félicite. Je lui dis combien je suis fier d’elle, fier de la femme, fier de la soumise.
Le temps passe, traître de cape et d’épée, filant tel le sable du désert. Je propose à Myrmée de remettre à une prochaine fois les punitions relatives à ses fautes de langage. Elle ...