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Conte de Noël, suite.
Datte: 07/11/2020, Catégories: A dormir debout, Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds
... très localisée. Le lutin le fait mettre à quatre pattes et approche son boutefeu vers l’orifice fripé. - Oh non ! Pas ça ! Sa queue est trop grosse ! Il me supplie. Le lutin n’a que faire de ses lamentations. Il appuie ses mains sur le dos d’Alain et approche du sphincter son énorme gland. Il tente de pénétrer par cette porte étroite à deux reprises, sans succès. - Ça ne rentrera pas, murmure douloureusement mon mari espérant le faire abandonner. Mais le lutin est tenace et recommence le forage qui finit par dilater légèrement le sphincter en poussant de son piston. Je pousse un petit cri de peur devant cet enculage dantesque. Alain serre les dents avant de grommeler : - Vous me faites mal… Mais... Imperturbable, le lutin continue sa progression, le gland gonflé à bloc continue à dilater peu à peu l’anus avant de disparaître dans l’antre. La suite de la verge monstrueuse, comme des wagons suivant la locomotive dans un tunnel, s’engouffre entre les fesses d’Alain. La douleur fulgurante du début est vite apaisée par les pouvoirs de l’éjacula du lutin. La moitié puis pratiquement la totalité du mandrin s’effacent à ma vue. Alain n’ose plus bouger. Le lutin en profite pour pénétrer encore plus avant jusqu’à ce qu’il ne puisse plus avancer. Alain est hagard, paraissant ne plus rien ressentir. L’idée de ce cylindre de chair formidable lui fouillant les entrailles déclenche chez lui une érection comme j’en ai rarement vue. Le lutin commence ...
... alors une folle farandole entamant des allers et retour de sa poutre dans le rectum de mon mari. La douleur est oubliée, il est si excité qu’il jouit puissamment sur les sol en poussant un cri bestial quand le lutin lui remplit les boyaux de son onguent miraculeux. Quand le lutin se retire, des contractions incontrôlées du sphincter de mon mari refoulent une quantité impressionnante de laitance qui coule le long de ses fesses et de ses cuisses, zébrée de quelques traces rougeâtres. L’effort a été intense mais la récompense est là. Il n’a plus de bide, les muscles flasques se sont raffermis et son pénis commence à avoir une taille respectable. Comme il ya a encore une décennie d’écart entre nous, il n’hésite plus et saute sur le pieu du lutin qui a encore dégonflé mais est toujours aussi raide. Et comme le phénomène est inversé avec lui contrairement à moi, le lutin ne met pas une minute avant qu’une unique goutte de sperme n’apparaisse au bout du gland. Elle hésite un instant et chute tombant en plein sur la virilité de mon homme. L’effet est immédiat. Alain retrouve ses vingt ans et un chibre d’une vingtaine de centimètre bat maintenant sur deux belles bourses gonflées. Soudain, le lutin se met à rétrécir et disparait dans un « plop », nous laissant seul. Nous nous regardons, admirant notre plastique et la jeunesse retrouvées. L’envie nous reprend comme aux premiers jours et nous copulons comme des bêtes. Neuf mois plus tard, grâce au lutin, Alain ...