La bourgeoise et le marabout (33)
Datte: 06/11/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: hélène75, Source: Xstory
... m’excitaient, je lui disais à chaque fois que cela ne se fait pas, que ce n’est pas bien de baiser en famille. A chaque fois, sa réponse était la même
— Ce n’est pas leur mère qu’ils baiseront mais la salope qui se cache en elle.
Très certainement pour me laisser dans le doute, mes deux baiseurs ne parlent pas et n’échangent aucune parole. Mais que c’est bon d’être ainsi besognée par deux belles queues. Je me cambre bien pour que celui qui est derrière moi, François je pense, puisse bien me saisir par la taille et me donner de grands coups de queue. J’ouvre grand la bouche pour que celui que je suce, Antoine je présume, puisse glisser toute sa hampe entre mes lèvres. Tout en me besognant, les deux hommes me flattent la croupe, me caressent les fesses, me titillent les seins.
Les paroles des acteurs de la télé semblent guider les actes de mes deux mâles
— Maman, viens t’allonger sur moi. Je veux te baiser et te dévorer les seins.
— Tu as raison fiston, nous allons changer de position.
— Papa, tu pourras ainsi l’enculer pendant que je la baise.
— Oui, et nous allons bien arroser cette salope.
Les yeux toujours bandés, je comprends que je dois m’allonger sur le corps étendu sur le lit. Je m’exécute et bien vite j’ai de nouveau une queue plantée dans la chatte. Une bouche avide me dévore les seins tandis que deux mains se posent sur mes fesses et m’entrouvrent. Une bouche me titille l’œillet, m’enduit de salive avant qu’un gland ne se pose sur ma rosette. ...
... Deux va-et-vient rapides suffisent à me préparer et me voilà maintenant avec une bite bien plantée dans le cul. C’est un régal pour moi d’être baisée par ces deux queues comme la blonde à l’écran qui crie sa jouissance
— Oh oui mes chéris, videz vous en moi.
— Arrosez moi de votre bon foutre, que j’en ai partout en moi.
Les deux acteurs lui répondent en chœur
— Oui maman, je viens. Comme c’est bon !
— Chérie, je jouis aussi, je te donne tout ce que j’ai.
A ce moment-là, celui qui m’encule se raidit, me serre un peu plus fort au niveau des hanches et se libère en moi de tout son foutre. Quelques secondes plus tard, celui qui me baise m’attire tout contre lui, soude sa bouche à la mienne, joue avec ma langue et se vide à son tour en longs jets puissants. Les deux queues se retirent de moi mais je reste allongée sur lit, les yeux toujours bandés, pour récupérer de ce violent orgasme.
Lorsque François me retire le bandeau, la blonde à l’écran est allongée seule sur le lit, ses deux étalons ont disparu et le générique de fin défile. Nous ne sommes que tous les deux dans la chambre ; François se lève, arrête le magnétoscope et la télévision puis revient s’allonger de moi. Je lui dis
— Alors coquin, tu as enfin réussi à parvenir à tes fins.
Prenant un air perplexe, il me répond
— De quoi parles-tu ?
Devant son air surpris, je poursuis
— Me faire baiser par l’un de nos fils. Depuis le temps que tu en rêves !
Son visage reste aussi perplexe et il ...