Belle (2)
Datte: 06/11/2020,
Catégories:
Trash,
Auteur: angenoir75, Source: Xstory
... Elle sait que ce n’est qu’un début, mais pour la première fois de sa vie la solitude lui pèse. Elle sait qu’elle est totalement possédée car cette jeune femme qui la traite pourtant comme une merde, qui l’a torturée et avilie tout le week-end, mais qui lui a donné tant de plaisir, tant de sens à sa vie. Plus rien d’autre ne compte, ni ne comptera.
Belle n’arrive pas à se remémorer tout ce qui s’est passé, ni surtout dans quel ordre, même si son corps est couvert des sévices pervers qu’Agnès n’a cessé de lui infliger. Surtout Belle sait qu’elle a de nombreuses nouvelles règles à suivre. Elle est sous son pouvoir. Dans la glace elle regarde d’abord ses seins sur lesquels sa Maîtresse s’est acharnée. Comme elle aime ce terme. Cela lui aurait semblé risible il y a 48 heures, mais là c’est une évidence, et surtout un fait. Agnès la possède totalement, la contrôle et elle ne s’appartient plus. Sa vie est entre ses mains et elle espère que sa Maîtresse en abusera le plus possible.
Elle ne les reconnaît plus ses seins. Ce n’est plus qu’une source de souffrance. La violence de ce qu’elle a subi la remplit d’une profonde excitation, elle a envie de se caresser et de jouir, et avec délice elle se rappelle qu’elle n’en a pas le droit, c’est terriblement frustrant. La marque du fil qu’Agnès a utilisé pour lui attacher les seins à leur naissance est très prononcée : le fil était fin et très serré, il a brûlé la peau. Les seins étaient ainsi magnifiques, comme jaillissant de son ...
... torse, permettant à sa Maîtresse de les battre avec une cravache pendant des heures, malgré ses cris et sa souffrance. Elle lui a dit qu’elle ne tolérait pas que Belle ait de si beaux seins, et qu’elle les détruirait jour après jour, jusqu’à ce qu’ils soient flasques et mous. Et Belle les lui avait offerts avec joie, lui demandant de lui faire le plus mal possible, et sa Maîtresse s’était déchaînée. Puis elle s’était occupée de ses tétons. Elle avait sorti sous les yeux intrigués de Belle deux lourds cadenas classiques, achetés en supermarché. A l’aide d’une tige d’insertion, elle avait forcé les trous des tétons, les agrandissant de force de 4 à 6 mm pour faire pénétrer les cadenas dans les chairs de sa suppliciée qui ne cessait de gémir tant la tension et la douleur était intense. Ce qui ne fit qu’exciter sa Maîtresse qui avec un sourire sadique lui ferma les cadenas. Elle lui dit que les clés étaient restées chez elle, et donc qu’elle ne pourrait pas espérer en être délivrée et qu’elle allait les porter très longtemps, déformant ses tétons et ses seins par leur poids très lourd. A cette image, les gémissements de Belle avaient pris une autre tournure et Agnès lui permit de jouir de cette déchéance. Cela avait été immédiat et fulgurant. Belle hagarde, lui demanda encore, lui promit tout ce qu’elle voudrait. C’est à ce moment qu’Agnès lui demanda si elle était prête à devenir son esclave. Pas seulement pour ce weekend end, mais pour la vie, avec comme seule perspective d’aller ...