1. Au plaisir de servir (1)


    Datte: 06/11/2020, Catégories: Erotique, Auteur: doubidou, Source: Xstory

    ... mais sûrement une prochaine fois...
    
    Retour au parking... il est déjà beaucoup moins plein qu’à notre arrivée; on s’installe en voiture pour partir, et comme si tu en tenais plus, tu remontes ta robe, et me dis : « viens prendre le début de ton dessert, je sais que tu en meurs d’envie, et moi aussi... ». Quoi de mieux que ce dessert-là... Je me penche et embrasse délicatement ton clito déjà tout mouillé, et j’en profite pour passer ma langue en toi, me rassasiant de toute ta mouille qui a coulé au restaurant; tu me stoppes en me remontant la tête par les cheveux, et me dis : « maintenant, à moi de prendre le tien ! », tu me déboutonnes et défais ma queue de sa prison de tissue, tendue comme un arc, soulagée d’être libérée; tu fais tourner ta langue autour de mon gland rouge d’excitation, tu fais tourner ta langue comme si tu voulais faire durer le plaisir, ou bien la « souffrance »... et d’un coup tu te déchaînes, comme si tu en pouvais plus, tu commences à bien baver dessus, et me fais une gorge profonde directement, je sens ta bave couler le long de mes couilles, j’adore cela, tu les prends dans tes mains, les serres de plus en plus fort, fais des mouvements précis et rapides; tu continues ce traitement et je sens que je vais venir, je suis au bord de la jouissance.
    
    Tu le sens aussi... tu te relèves et me dis : « on va arrêter là... J’n’en ai pas fini avec toi. Maintenant, ramène-moi à la maison, je vais me mettre derrière comme si tu étais mon chauffeur ».
    
    Tu sors ...
    ... de la voiture et te places à l’arrière, place centrale; et je te vois fouiller dans ton sac, et en ressortir le rabbit de ton chevet... (Voilà ce que tu allais chercher dans la chambre...), tu écartes bien les jambes en faisant aller ton pied à côté de mon visage, et me dis : « Maintenant, interdit de te retourner, tu n’as que le rétroviseur pour voir mon visage en train de jouir... je vais me faire du bien sur ta banquette arrière; mais attention à toi si tu te retournes... » Ne voulant pas laisser passer ma chance, je ne peux m’empêcher de regarder ton visage pris par le plaisir dans mon rétroviseur, mais je ne me retourne pas; je t’entends jouir, j’entends les clapotis du gode dans ta chatte trempée d’excitation... Vers la fin du chemin, tu ranges ton jouet et continues à jouer avec tes doigts... pour me les refaire goûter, et me récompenser d’avoir obéi... humm ! Ce goût me transporte... tellement hâte de l’avoir dans la bouche...
    
    Arrivés à la maison, je te fais sortir de la voiture et tu me devances, je t’ouvre la porte, et là, le ton change : « Maintenant, déshabille-toi ! Je te veux nu, à genoux, à mes pieds ». Je m’exécute sans broncher, je sens que nous avons passé une étape en franchissant le pas de la porte... je baisse la tête et sens un collier me prendre le cou, et une laisse s’y attacher... « Tu étais mon serviteur tout à l’heure, à présent tu vas être mon objet, mon jouet; viens ! Non, d’abord debout, et sers-moi un verre de vin et une cigarette et viens me ...