1. Ça c'est passé simplement 17


    Datte: 06/11/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Macerou, Source: Hds

    ... excitant comme sensation : « Oui, … encore, …, brute, … je suis à toi, … » et je lui claquais l’autre fasse : « Ouiiiii, … continues, … je sens que ça vient, OOOHHH, … … OUIIIIIIII, …. Je JOUIIIIIIIS, … » et elle fut parcouru par un spasme brutale, mais moi, ayant pratiqué le sexe plusieurs fois, je sentais le plaisir dans les reins, mais, cela ne montait pas … et je bandais toujours autant, je devenais une machine à baiser, ce dont souvent mes partenaires ne se rendaient pas compte, surtout quand elles voulaient de la queue, j’en avais une qui ne demandait qu’à servir. Etant donné qu’elle avait déjà joui, je me retirais de sa grotte d’amour et décidais de monter d’un cran et de m’attaquer à sa rosette, mais en li disant : « Ouvres tes fesses, je vais prendre ton cul … »
    
    Evelyne : « OOOHHH, … oui, … prends moi par là, … encules moi, … j’aime que tu me prennes par là, … fais doucement, … OOOHHH, … ouiiii, … maintenant vas-y, … je t’attends, … je t’aurais tout donné, … ». Je n’eu aucun mal à pénétrer et passer l’obstacle de sa rosette, quand elle se décontracta et cramponné à ses hanches, la machine à baiser se mit en route avec énergie, d’autant pus que sentais le ...
    ... plaisir monter dans mes reins, me gonfler la bite alors qu’Evelyne semblait apprécier, alors qu’elle commençait à gémir, je lui dis, prends ta chatte, tu aimes être prise des deux cotés : « Ouiiii, … tu aimes que je me caresse, … pendant que tu me prends comme ça, … ouiiiiii, … bourres moi le cul,… je suis ta femelle, … encules moi fort, … OOOHHH, … »
    
    Mais je n’étais plus maître de la situation, car je me vidais d’un seul coup dans son cul, alors qu’Evelyne était en train de jouir : « Je sens que je vais jouir, ne t’arrêtes pas, … OUIIIIIIIII, … JE JOUIIIIIS, … ». Pour ma part, j’étais vidé, alors qu’Evelyne le souffle court et étant un peu sonnée, se relevait, se retournait et s’accrochant à moi : « Tu peux être fier de toi, … tu m’as crevé, … maintenant pars vite, … avant que je m’écroule, … » et se collant à moi : « Vas-t-en, … avant que je dise des bêtises, .. » C’est ce que je fis, alors qu’Evelyne rentrait dans la salle de séjour. Il me restait 500 bornes à me taper, étant sur les rotules mais avec un excellent souvenir, pour le travail fait, pour les nuits passées ou plutôt l’inverse, les nuits passées et le travail fait et peut-être un jour, … de nouveau Lyon. 
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