1. 29 juin -5 juillet


    Datte: 05/11/2020, Catégories: fh, extracon, ascendant, freresoeur, enceinte, amour, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, photofilm, Oral fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, gifle, orties, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... de marche que mes copains ont récupéré je ne sais où –, Véronique regarde autour d’elle. Elle prononce quelques mots que je ne saisis pas et fond en larmes. Elle précipite, s’accroche à moi et sanglote sur mon épaule. Je me trouve désemparé. J’essaie de l’apaiser en lui tapotant le dos, en bafouillant de fort plats « ce n’est rien » et autres banalités. Elle se calme doucement. Elle m’embrasse, me souffle un « merci », et se retourne :
    
    — Merci à tous… Dire que je suis chez moi… C’est tellement extraordinaire… Je… Je ne sais pas quoi dire…
    — Alors ne dis rien, interviens-je.
    
    Elle ne dit rien, mais me saute au cou et m’embrasse derechef. Nous la laissons avec sa sœur ranger ses affaires et finir de s’installer.
    
    J’entraîne mes trois amies jusqu’à la paroisse de mon ami le Père Étienne. Nous assistons à l’office du soir, mais ce n’est pas lui qui célèbre. Tandis qu’Anne rentre chez elle, où elle va pouvoir se laver sa petite touffe, les filles et moi revenons à la maison. Tous trois sommes heureux de pouvoir nous doucher après cette chaude journée de labeur.
    
    Après un repas rapidement pris, Dominique et moi rejoignons la chambre. Je suis un peu las, mais mon amie me fait comprendre qu’elle n’entend pas dormir tout de suite. Ses lèvres et sa langue ressusciteraient un mort. Elle y met tant d’ardeur que je crains de partir. Je me dégage, mais ai du mal à lui faire lâcher prise. Je mets à mon tour à user des mêmes outils qu’elle, avant d’utiliser celui qu’elle a si ...
    ... bien su redresser. Mais ce soir je ne tiens pas la forme olympique, je dois me retirer. Je lâche mon jus sur ses poils et son ventre avant qu’elle ne prenne son plaisir. À peine le temps de dire ouf, je lui enfile deux doigts dans la chatte et titille son bouton. Elle repart, son ventre frémit, son bassin s’agite, elle secoue la tête de droite et de gauche, elle s’arc-boute, avant de retomber repue. Je vais chercher un gant pour la nettoyer, le temps de le ramener et d’ablutionner rapidement, je la retrouve endormie. À peine couché, je l’imite.
    
    Je me réveille, où plutôt on me réveille. Dominique use des mêmes arguments pour me faire quitter les bras de Morphée que la veille pour m’empêcher de les rejoindre. Sa langue parcourt ma queue, s’attardant parfois sur le gland, que de temps en temps elle gobe pour le sucer. D’autres fois ce sont mes boules qui retiennent son attention. C’est une fort plaisante manière de se faire réveiller. Enfoncés les radios-réveils.
    
    Tout cela est fort bon, mais je ne vais quand même pas rester les bras croisés. Je l’attire et lui rends les politesses qu’elle me prodigue. La ferveur de ses attentions finit par avoir raison de ma résistance. Je l’avertis, mais elle reste sur ses positions et avale tout ce que je lui offre. Elle continue son œuvre de succion presque sans ralentir. Avec ce traitement je ne perds pas consistance. Seul le traitement que je lui offre en retour finit par lui faire perdre le rythme. C’est son bassin qui le prend. C’est ...
«12...192021...26»