1. Mère et fille en libertinage


    Datte: 05/11/2020, Catégories: Sexe Interracial Auteur: pompier37, Source: xHamster

    ... sous régime depuis des lustres. Mais le désir était plus fort que la douleur et bientôt, le braquemart trouva sa place et laboura consciencieusement les chairs intimes de la quadragénaire. Alors, celle-ci ressentit un plaisir de plus en plus grand pour devenir inouï. Son cul parla pour elle. Elle le remuait au rythme des poussées de son jeune amant, qu'elle regardait en tournant la tête de son côté afin de savourer le moment présent. Enfin, un vrai mâle la baisait. Enfin, son bas-ventre était occupé par un membre viril, actif, rigide et complémentaire de sa féminité. Comme si enfin le vide était comblé. Sa seule préoccupation était désormais que cette complémentarité se poursuive. Aussi s'exprimait-elle fiévreusement :
    
    - Encore, vas-y, continue, ne t'arrête pas, encore, encore...
    
    Barnabé se régalait de ce corps charnu, picoté de taches de rousseur, de ses hanches rondes qu'il empoignait et de ces fesses qui claquaient contre son bassin à chaque fois qu'il la percutait. Lorsqu'il se détacha de la position de levrette pour s'asseoir dans le canapé et l'inviter à s'empaler sur lui, Marianne se précipita de peur qu'il ne débande. Il se gavait de ses seins tout en lui titillant l'anus d'un doigt fureteur tandis qu'elle ondulait en lui malaxant les couilles de son fessier copieux. Fessier qu'il eut envie de voir et il l'invita à s'empaler cette fois dos à lui.
    
    Alors, Marianne se trouva face à face avec sa fille qui, au même moment se trouvait prise en levrette par Damien. ...
    ... Les deux femmes se regardèrent et se sourirent, trop préoccupées par leur plaisir pour échanger le moindre mot. Le spectacle qu'elles s'offraient mutuellement n'en était pas moins inédit. Delphine n'aurait jamais imaginé sa mère capable de baiser, de baiser vraiment et tout en remuant de la croupe, elle ne perdait pas une miette du spectacle à quelques centimètres d'elle. Les mains posées sur les genoux de Barnabé, Marianne décollait brièvement son fessier avant de le laisser retomber dans un bruit sec et recommençait à nouveau, parfois en restant en position basse tout en remuant son bassin afin de faire pénétrer la pine le plus profondément possible, puis redécollait à nouveau, redescendait et ainsi de suite, tout en glissant sa main entre ses jambes pour caresser les couilles de l'Antillais. Peut-être, au fond d'elle-même, voulait-elle montrer à sa fille qu'elle n'était pas plus maladroite qu'elle dans l'acte sexuel et qu'elle n'avait pas davantage de tabous, quand bien même aurait-elle été réduite à la portion congrue depuis plusieurs mois. De fait, Marianne se lâchait complètement, devenant presque vulgaire en ondulant des hanches :
    
    - Mmmh qu'elle est bonne ta bite, mets la moi bien profond...
    
    Mais Marianne était tout aussi subjuguée par l'harmonie du couple en face d'elle, en particulier par le corps d'athlète de Damien, tous muscles bandés, dont la peau claquait sur les fesses de Delphine à chaque coup de boutoir, provoquant chez celle-ci des exclamations sonores ...
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