L'université : de la soumission à la consécration (12)
Datte: 05/11/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: donico, Source: Xstory
... grandi ensemble dans le ventre de notre mère.
Dévoré par le désir, j’attrape un de ses seins et le malaxe plus fermement, sentant venir l’orgasme. Je sais que je ne tiendrais plus très longtemps en elle, aussi suis-je rassuré et heureux de la voir également agripper les draps, tandis que sa main derrière mon crâne se sert spasmodiquement.
- Oh Justin ! gémit-elle.
Son corps se soulève, s’agite en tous sens, un deuxième orgasme vient la foudroyer. Elle murmure mon nom, se pince les lèvres pour ne pas crier, elle en pleure même de bonheur. La voir ainsi est fabuleux, et mon sexe délicieusement comprimé dans son vagin qui se contracte demande grâce.
Je me vide en elle avec une intensité que je n’ai encore jamais connue. Mon éjaculation est si puissante et abondante qu’elle me fait presque mal. L’idée que chacun de mes spermatozoïdes lutte désespérément pour être le premier à féconder ma sœur me semble très concrète, tant mon sperme semble pressé de sortir. Les jets de ma semence qui inondent le ventre de ma sœur ne paraissent jamais devoir se terminer.
Lorsque, pourtant, ce moment de grâce se termine enfin, il n’est pas suivi d’un brutal retour à la réalité, comme la dernière fois. Ou plutôt si, mais cette réalité n’intimide plus ni ma sœur, ni moi. Nous savons ce que nous faisons, nous acceptons ce que nous avons fait. Nous le voulons.
- Je t’aime Justin, répète Charlotte en riant de plaisir, au milieu des larmes de bonheur qui s’attardent encore sur son ...
... visage.
- Je t’aime Charlotte.
Je me retire alors doucement d’elle, puis j’ai la présence d’esprit de mettre rapidement ma main en coupe le long de sa cuisse pour récolter le plus gros de ma semence qui s’échappe de son vagin.
Charlotte le remarque à peine.
- Je vais aller me changer, dit-elle seulement.
Elle a manifestement besoin d’être seule un moment, mais ça ne m’inquiète pas plus que ça et ça ne m’étonne encore moins. La situation a beau être clarifiée, elle n’en reste pas moins compliquée. Et de toute façon, ça m’arrange.
Elle se rhabille donc hâtivement, puis elle quitte la chambre en m’embrassant encore une fois et en me glissant un dernier « je t’aime » qui fait toujours autant bondir mon cœur dans ma poitrine.
Dès que je suis sûr qu’elle est partie, je me dirige vers le placard dans lequel se trouve toujours mon autre sœur, puis je la libère enfin. Elle semble choquée, jalouse, et sans doute une foule d’autres choses encore. Mais je n’en tiens pas compte, c’est moi le maître désormais.
- Ok, tu as gagné, me dit-elle. Tu as couché avec toutes les femmes de la famille, c’est toi le maître. Maintenant on pourrait passer à l’étape suivante, celle où tu me baises ?
- On y viendra, mais en attendant je t’ai gardé quelque chose.
Elle fronce les sourcils, curieuse. Je lui tends alors ma main, dans laquelle se trouve toujours mon sperme.
- Prouve-moi que je suis bien ton maître, et que tu m’es soumise : voici ma semence, qui sort du vagin de ta ...