1. Croisière sur le Nil Chapitre 6


    Datte: 21/01/2018, Catégories: A dormir debout, Auteur: Le comte, Source: Hds

    Pénétrant à mon tour dans la luxueuse cabine je referme doucement la porte derrière moi .
    
    Un profond silence règne , les bois vernis et les cuivres brillent doucement à la lueur de deux lampes à gaz .
    
    Immédiatement mon regard est attiré par le lit à baldaquin.
    
    Quatre tissus rouges et or que je n'avais jamais auparavant ferment les espaces entre les lourdes colonnes torsadées .
    
    Je m'approche et tendant la main j'en écarte un des pans.
    
    Mon cœur accélère brusquement , Mathilde est là , elle semble endormie .
    
    Couchée sur le côté ses longues cheveux blonds s'étalent sur l'oreiller de soie rouge .
    
    Elle est encore vêtue , sa robe légèrement relevée laisse apparaître ses longues jambes nues .
    
    Le désir animal dont nous parlions il y a quelques instants s'empare de mon esprit et brouille ma pensée .
    
    A cet instant mes yeux se posent sur ce qui semble être une feuille de papier froissé.
    
    Je m'en empare fiévreusement une phrase y est griffonnée :
    
    - La bête est là, laisse la me prendre de la façon qu'il lui plaira , ne pense pas -
    
    Au moment où mon regard se pose à nouveau sur Mathilde ses fesses se cambrent presque imperceptiblement .
    
    Un désir fou s'empare de mon corps tout entier , mon sexe se tend mes muscles se contractent une chaleur puissante envahit tout mon être. Je me jette littéralement sur ce corps de femelle que je dois prendre.
    
    Je déchire d'un geste brusque sa robe blanche de bas en haut , saisissant ses hanches je relève sa croupe , ...
    ... ses genoux sont maintenant posés sur le lit sa tête toujours sur l'oreiller.
    
    J'arrache littéralement sa petite culotte de dentelle et la pénètre profondément de ma verge en rut.
    
    Debout au pied du lit mes mains tenant fermement ses fesses écartées je la prend sauvagement , mon membre entre et sort de son sexe trempés .
    
    Des cris étouffés ponctuent le rythme de mes coups de reins
    
    Enfin l'animal qui est en moi peut laisser libre cours à ses instinct sexuels primitifs .
    
    Je prends ma femelle brutalement et fougueusement
    
    En cet instant tout mon être n'est que puissance et domination .
    
    Mes muscles se bandent , mon sexe s'enfonce une dernière fois au plus profond de son orifice offert .
    
    Je jouis et déverse longuement ma semence en râlant.
    
    Le corps de Mathilde s'affaisse sur le couvre lit de soie , sans un mot je sort de la pièce , mon esprit qui semblait avoir quitter mon corps revient peu à peu à lui , mais qu'ai je fais ? Un sentiment de honte mêlé à un fière puissance se partagent mon être.
    
    Quelques minutes plus tard mon épouse en tenue de campagne me rejoint au milieu des caisses de matériel de fouilles.
    
    Un pantalon de lin clair serré à la taille et aux chevilles , elle porte une chemise soulignant les courbes de sa délicieuse poitrine.
    
    Un fin tissu enroulé autour de sa tête et retombant sur une des ses épaules achève de la rendre irrésistible d'exotisme et de sensualité.
    
    Un petit sourire aux coins des lèvres elle me dit d'un ton autoritaire ...
«12»