UNE SEMAINE DE VACANCES 1/2
Datte: 04/11/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Poesexe, Source: Hds
... ressenti de pression de leur part. Nous avions passé un bon moment à la plage, et ils ont voulu partager avec moi, leur passion. »
Moi : « Partager leur passion ? » je suis tellement stupéfait que tout ce que j’arrive à faire , c’est répéter ce que Sandra me dit. Pas très original.
Sandra : « Je t’assure, que si tu avais été là, tu aurais partagé cette expérience, avec moi, avec eux. »
Je n’ose l’avouer mais le récit de Sandra, m’irrite et m’excite à la fois. Une barre de chair déforme mon short, et elle ne tarde pas à s’en apercevoir. Malheureusement, pour cause de brûlures solaires, pas questions de se frotter l’un contre l’autre. Elle pose la main sur la bosse qui tend mon slip, et dégage mon mandrin qui se tend maintenant à l’air libre. Me saisissant aux épaules elle me fait allonger sur le dos, et s’agenouille à mes côtés. Puis elle se penche sur moi et s’empare avec ses lèvres de la seule partie de mon corps qui n’ait pas eu à souffrir du soleil. Elle commence à me pomper, sa tête montant et descendant en rythme sur ma queue. Elle s’arrête un instant et me dit
« Tu vois, ...
... cette histoire t’a excité autant que moi » avant de replonger. Sa langue pointue, se glisse sous ma verge, et écarte mon méat, pendant que ses lèvres se serrent autour de mon frein en un mouvement coulissant extrêmement vif. Je sens mon gland gonfler. Elle lèche mon sexe tout du long en malaxant mes bourses. J’ai tendu la main pour atteindre sa chatte humide qui accueille deux de mes doigts, en les accompagnant de mouvements du bassin.
Elle m’a repris en bouche et ses lèvres forment un fourreau qui s’active jusqu’à ce que je sente la lave monter irrépressiblement en moi. Elle le sent aussi, je le sais, mais elle continue à enserrer mon membre. Je lâche plusieurs giclées dans sa bouche. Elle n’arrive pas à tout avaler et ça déborde aux commissures de ses lèvres. Elle se relève, et recrache dans l’herbe le trop plein, puis revient me nettoyer avec sa langue., avant de venir déposer un baiser salé sur mes lèvres.
Sandra : « C’était bon. Tant que ce maudit coup de soleil ne sera pas passé, je te ferais jouir comme ça. . »
Je me dis que, finalement, je ne vais peut-être pas perdre au change