Cobaye - Histoires de Sexe

Cobaye

... beaucoup de temps avant que je jouisse de nouveau.

A partir de ce moment le plaisir baisse très peu dans mon ventre.

La torture de ma chatte, surtout du clitoris, ne cesse pas et je jouis plusieurs fois à des intervalles irréguliers.

Je suis très bruyante, solidaire de la table à cause du film plastique qui me retient prisonnière je ne peux pas beaucoup gesticuler.

Le plug vibre toujours dans mon cul ainsi que les pompes sur mes tétons.

Dany s'acharne pendant un bon moment avec son appareil sur mon sexe et mon clitoris qui est devenu très sensible, il s'amuse à faire varier l'intensité.

Pendant ce temps Patrick lui se sert d'autres gadgets sur mon ventre et sur mes seins ce qui me procure des sensations apréables supplémentaires.

Je sens la mouillure qui coule entre mes fesses.

Comme ils ne sont pas décidés à arrêter la torture qu'il m'infligent les orgasmes que je ne compte plus se succèdent rapidement.

Ils constatent que mon entre-jambes et la couverture sur laquelle je suis allongée sont trempées par la mouillure qui gicle presque en permanence de mon vagin et qui semble inépuisable.

Je suis dans un état second et la lucidité me quitte pendant que mon martyr continue, seuls les gémissements, cris et paroles qui sortent de ma bouche et qui ne semblent pas les déranger leur montrent que je suis là pendant que je jouis encore et encore.

Je les entends discuter.

<<je ne vais pas me servir de ça avec ma femme, elle ne voudra plus de ma bite ...

... et n'aura plus besoin de moi>>.

<<moi le mienne aime bien que je m'en serve sur elle de temps en temps et apprécie toujours autant que je la caresse et lui fasse l'amour>>.

Ils maintiennent en se relayant le stimulateur en place et contrôlent combien de temps il leur faut pour me faire jouir en fonction du réglage, c'est à qui m'amènera à l'orgasme le plus rapidement.

De temps en temps je me retrouve avec un pénis dans une main mais le plaisir dans mon ventre étant trop fort je ne lui fais pas grand chose à part le serrer fortement et le martyriser car je ne maîtrise plus mes mouvements.

A un moment l'un des deux est monté sur la table, il s'est mis à genoux les jambes de chaque côté de mon corps puis a enfoncé son pénis dans ma bouche. J'ai essayé de sucer mais avec la montée rapide et forte du plaisir dans mon ventre, ne pouvant pas me contrôler, j'ai refermé la bouche pour serrer les dents et je l'ai mordu ce qui a mis fin rapidement à la fellation qu'il espérait.

Les orgasmes dont le nombre est impressionnant continuent à secouer mon corps à un rythme rapide.

Je suis physiquement anéantie et incapable de leur faire part que je n'en peux plus, il finissent par s'en apercevoir car dans un état second je ne réponds plus quand ils me parlent.

<<tu as vu le nombre important d'orgasmes qu'elle a eu, elle n'a pas l'air dans son assiette>>.

<<oui, on va arrêter de la faire jouir, elle n'en peut plus, tu ne vois pas si son coeur lâche>>.

<<d'accord on en ...