Gloria - Histoires de Sexe

Gloria

... bouche avide, avalant celui-ci jusqu’au bout. Ce nouveau machin est plus gros ; il enfle rapidement entre mes lèvres insatiables. C’est du gros calibre, mais bien goûteux ! Une autre tige de chair surgit ; je la capture gloutonnement entre mes doigts pour jouer avec sans réticence. Une autre bite plus timide surgit de l’autre côté, je m’en empare aussitôt, la décalottant. Son propriétaire hoquète. Que c’est bon, une queue en bouche et une dans chaque main ! J’accélère encore mes allers-retours d’une main, mes agaceries de l’autre, ma grosse sucette bien en bouche. La petite chose timide vibre, tremble, je sens ses frémissements distinctement entre mes doigts. Un cri syncopé, un long jet fuse ; il vient s’aplatir contre ma joue. Sensation étrange mais excitante ! Quasiment synchrones, les deux autres bites se vident : un gros jet visqueux remplit ma bouche, l’autre jet éclabousse le haut de mes seins puis ruisselle vers le bas, tel du lait légèrement épais.

Je suis prise de frénésie ; il me faut des queues, encore des queues, toujours plus de queues à sucer, à lécher, à branler ! Oui, plein de queues pour moi, à moi !

Soudain, je me lève d’un bond, je me précipite sur la porte que j’ouvre. Je me retrouve nez à nez avec Didier qui est très surpris. Sans m’en soucier, je lui demande :

— Les trous, c’est trop contraignant. Vous n’auriez pas un autre endroit ?
— Un autre endroit ?
— Oui, pour que je puisse mieux profiter. Ah oui, la salle de gynéco, par exemple ...

... !

Les handballeurs, intrigués, commencent à former un cercle autour de nous. Je me masque le visage de mes mains : j’ai agi trop spontanément en sortant du glory hole. Didier prend les choses en main :

— Pas de problème, Messieurs : on change simplement d’endroit pour que ce soit plus simple. Mais attendez-moi ici, je viendrai vous chercher.

Un homme assez grand et chauve questionne :

— Comment ça, plus simple ?
— Madame désire que ça soit plus commode, que vous soyez mieux réunis autour d’elle. Sans obstacle, si vous voyez ce que je veux dire.
— Ah OK ! C’est vrai qu’à travers un trou, c’est pas la joie…
— Justement, c’est pas la joie, en effet ! Alors attendez ici un petit peu et je viendrai vous chercher quand ça sera prêt.

Puis, mettant une serviette sur mes épaules, il m’entraîne loin de tous ces mâles en rut. C’est à la fois terriblement excitant et affolant d’avoir pour soi tant d’hommes plein de désir ! Nous arrivons à la salle de gynéco. Il allume la lumière, et se tourne vers moi :

— Eh bien, l’appétit vient en mangeant, on dirait ?
— Je préfère ne pas en parler… Il faut faire quelque chose pour mon visage : je n’ai pas envie qu’ils me reconnaissent dans la rue.
— Bougez pas, je reviens avec des masques, j’en ai ici. En attendant, installez-vous comme vous voulez. Les étriers sont enlevables, et ça se transforme en simple lit surélevé.
— OK, je vous attends. Euh… vous êtes sûr qu’ils ne vont pas venir pendant que vous ne serez pas avec moi ?
— Non, ...