1. Famille nombreuse


    Datte: 04/11/2020, Catégories: h, fh, hplusag, fplusag, jeunes, ascendant, freresoeur, oncletante, Inceste / Tabou collection, Oral zoo, délire, Humour fantastiq, Auteur: OlivierK, Source: Revebebe

    ... puits de plaisir de sa fille Hébé, et c’est son nectar qui donna la suavité dont elle me loua. Je ne jugeai pas à propos de le lui dire.
    
    Vous avez entendu parler de la jalousie de cette mégère ; ses haines farouches ont fait le malheur de Sémélé, de Léto, de la pauvre Io transformée en génisse, et de tant d’autres ! C’est pourquoi j’admets que le boss a raison de prendre un maximum de précautions quand il veut s’envoyer en l’air. Pas un mot à la reine mère !
    
    Toujours est-il qu’il en avait assez de copuler avec sa soeur, ce qui se comprend : elle est son épouse légitime, et lassitude ainsi que satiété s’invitent inévitablement dans un lit conjugal. Il fit donc le gentil, me traita quasiment comme si j’étais son égal, ce que chacun fait quand il veut qu’on devienne son complice. Pourtant je n’occupe pas une fonction très importante, je suis un petit dieu de pas grand-chose, chargé d’arracher les mauvaises herbes dans les jardins de Déméter. Oh, le boulot me plaît, j’y rencontre dryades et naïades, je chahute avec les satyres, me moquant de leur puissant sexe perpétuellement dressé, que je leur envie pourtant les soirs où le grand Pan donne des fêtes auxquelles il veut bien m’associer.
    
    Je reviens à mon propos. Je suis un des petits-fils du boss, mais il en a tant ! Je n’ai jamais connu ma mère, expédiée vite fait chez Hadès par Héra. J’espère qu’elle n’y tient pas compagnie à Iphigénie, ou qu’elle aime ça. Tout bébé, je fus nourri par Séléné, mon esprit parfois ...
    ... lunatique vient de là. Quand je vagissais au milieu de mes cinquante soeurs de lait, j’étais au paradis. Toutes plus belles les unes que les autres, et d’une gentillesse ! Voir grossir ma petite verge entre leurs mains graciles les faisait rire. J’étais le seul garçon dans ce gynécée. Le boss ne se gênait pas pour lutiner leur mère en notre présence, si bien que les choses du sexe n’eurent très vite guère de secrets pour nous. Maladroitement, nous tentions de les imiter, les gamines adoraient ces petits jeux innocents mais je dois admettre que je me fatiguais trop vite pour parvenir à les satisfaire toutes. C’était quand même le bon temps !
    
    Les choses sérieuses vinrent avec la puberté. Ces fillettes me harcelaient sans cesse, chacune me voulant pour elle seule. Elles auraient fini par s’entretuer si le boss ne m’avait exilé chez Hermès, mon tonton. Maia, la plus jeune des Pléiades, et la plus belle… Je n’en dirai pas plus, mon cas est déjà assez sérieux. Enfin, vous avez compris, c’est sur la couche de Maia que je fis le boss cocu pour la première fois. Plaisir rare, que celui de cocufier son grand-père avec sa tante ! Hermès, lui, ne m’en voulait pas du tout de coucher avec sa mère, bien au contraire : il était inquiet quand il était obligé de me séparer d’elle. Autant toi qu’un autre, me disait-il. Mais il lui fallait m’apprendre le métier, j’étais destiné à devenir son acolyte, peut-être même son coadjuteur avec droit de succession, le boss l’avait laissé entendre. Ah, nous en ...
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