1. Déchéance d'une belle-soeur...ou salope parisienne en devenir ! (4)


    Datte: 23/04/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... demi-guêpière. Et évidemment les yeux bandés.
    
    Après l’avoir laissé mijoté pendant 10 bonnes minutes, je caressai la vulve et le sillon fessier, puis lui donnai une bonne claque sur la fesse... Sylvie cria.
    
    Alors, ayant trempé mes doigts dans l’huile d’olive, je lui en passai sur la rondelle, et commençai un mouvement de rotation du bout du doigt. Sur le coup, elle gémit, et regimba un peu, bougeant son cul pour échapper à mon doigt. Prenant un torchon de cuisine humidifié, je la fouettai sur les fesses avec. Elle cria durant tout le cinglage, je voyais que son mari jouissait de la situation... il en retirait une forme de plaisir pervers ! Voir sa femme se faire fouetter les fesses par un quasi étranger, à poil, sans défense, attachée, tandis que lui profitait de la situation... il y avait là effectivement une très belle vengeance, pour un mari humilié depuis tant d’années !
    
    Il ne se gênait d’ailleurs pas pour effectuer un mouvement de masturbation sur son sexe distendu, en regardant sa femme en porte-jarretelles, fesses et seins à l’air, ainsi maltraitée ! !
    
    Alors je pris le bloc note, et écrivis des choses ; d’abord, " Arrête de te branler ! Tu pourras la bourrer ta salope de femme et par le cul encore ! Confiance !! "
    
    Puis des mots que Raphaël devait répéter à l’oreille de sa femme :
    
    — Il veut que tu arrêtes de bouger, sinon ça fera plus mal. Il va te goder le cul avec la carotte, et il m’a demandé de te mettre des pinces à linge sur les seins, comme ...
    ... tu n’es pas sage. Tu dois te retenir de crier, à peine gémir, sinon il te fouettera partout... il adore fouetter les femmes au niveau de leur chatte et sur leurs seins.
    
    Là encore, il se régala de prononcer le message avec des paroles rauques d’excitation à l’oreille de sa femme, humiliée et asservie !
    
    Sylvie ne dit rien et hocha la tête à l’affirmative. Elle n’avait pas le choix... en attendant, elle ne semblait pas prendre son pied comme sa sœur !
    
    Elle sentit son mari lui tordre une pointe de sein, et y placer la pince à linge ; la douleur lui fit monter les larmes aux yeux, surtout qu’après avoir placé 6 pinces à linge sur chaque sein, sur les pointes et autour, martyrisant la chair si sensible... son mari s’amusait à les faire tourner et bouger, ajoutant de la souffrance aux pincements cruels. Jamais elle n’aurait cru laisser son mari l’humilier et la martyriser ainsi...
    
    Obnubilée par le feu qui lui montait des seins, Sylvie en oubliait presque les doigts inquisiteurs de Paul, qui forçaient son intimité la plus profonde. Paul se régalait de forcer le passage pour la première fois : déflorer cette petite bourgeoise impudente et orgueilleuse, lui procurait beaucoup de plaisir. Quand il estima l’anus un peu dilaté, il se plaça derrière la femme offerte, la prit par les hanches et lui pénétra la chatte d’une bonne poussée... Sylvie, qui avait retenu toutes ses plaintes de souffrance, put exprimer un grand cri de plaisir, surprise, et douleur... une véritable ...