1. Un médecin particulier


    Datte: 03/11/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Osoave, Source: Hds

    ... dire. Je pensais être libéré ce soir. Et me voici en plein coeur de mes fantasmes. Ma meilleure amie, la femme la plus proche de mes envies, de mes désirs, de mes fantasmes, elle pourtant avec qui je n’avais jamais partagé le côté sombre de mes envies, ma meilleure amie leur donne vie ce soir. Je ne sais pas vraiment ce qu’elle a derrière la tête, jusqu’où ça va aller. Je vais vivre ce moment. Je n’ai pas le choix de toutes façons. Sans jeu de mots, elle me tient par les couilles.
    
    « Descends de la table et mets-toi à genoux. »
    
    Je m’exécute.
    
    « Mets tes mains derrière ton dos. »
    
    Je la regarde d’en bas. Elle me paraît immense : Tout en me fixant, elle se met à déboutonner sa blouse, lentement, bouton par bouton. Elle baisse son pantalon et me dévoile une culotte en dentelle noire, très mais alors très sexy.
    
    « Ton docteur te plaît? Tu vas le goûter ton docteur, Osoave »
    
    Elle enlève sa culotte et me dévoile sa chatte, poilue mais pas trop, juste quelques poils pour me révéler qu’elle est une vraie femme, sensuelle et fière d’elle-même.
    
    Ma queue va exploser. Je bande comme un fou mais je suis toujours contraint. Mes couilles me font mal. Je n’ai pas joui depuis de jours. J’ai envie d’exploser. Et Julie ne fait rien pour calmer les choses. Elle se tourne et me dévoile son cul. Magnifique.
    
    Bien sûr, je le connais. Je l’ai déjà vu bien des fois, à la piscine, en vacances. Mais jamais de si près. Elle écarte ses fesses avec ses deux mains et me montre en gros ...
    ... plan ses lèvres et son petit trou.
    
    « Lèche-moi. Le cul. Pas la chatte. Juste mon trou du cul. »
    
    Mains derrière le dos, bite encagée, j’approche mon visage de sa raie. Je sors ma langue et commence à lécher son trou. L’odeur est trouble, chaude et humide. J’aime ça. Julie me ravale plus bas que terre. Elle a l’air d’aimer ça.
    
    « Ne t’avise pas de descendre plus bas. Tu ne mérites pas ma chatte. »
    
    Je vois qu’elle se caresse le clitoris. Mais elle ne laisse rien paraître d’un éventuel émoi. Ni gémissements, ni soubresauts. Elle se se contrôle parfaitement.
    
    Au bout de deux ou trois minutes, elle se retourne.
    
    « Allonge-toi par terre. Je vois que cette petite entrée en matière t’a plu. On continue. »
    
    Je m’allonge sur le froid carrelage. Je ne dis plus un mot. Je suis hypnotisé. Elle soulève sa jambe et appuie avec sa semelle sur mes couilles, d’abord légèrement, puis elle prend de l’assurance et pèse peu à peu plus fort, balançant son poids et m’écrasant de plus en plus.
    
    « J’ai toujours rêvé de faire ça. Mets tes mains en dessous de ton dos. Je veux que tu sois complètement impuissant. Putain, j’écrase tes couilles Osoave, je kiffe… »
    
    Elle soulève son pied, me soulageant un instant, puis revient dessus, comme pour m’écraser un peu plus.
    
    « Dis-moi que ça te plaît Osoave. »
    
    « J’aime ça Docteur. »
    
    « Répète : J’aime quand vous m’écrasez les couilles Docteur. »
    
    « J’aime quand vous m’écraser les couilles Docteur. »
    
    Elle fait comme si elle écrasait ...
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