La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°962)
Datte: 02/11/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... inaperçu. Jamais je n’avais ressenti cela, surtout que les deux bites ne bougeaient pas au même rythme, et je connus des orgasmes fulgurants, si puissants, si violents … !
Mais la seconde chose que je serais incapable d’oublier, c’est quand un troisième homme avait décidé d’enfoncer son vit dressé dans mon cul. Il eut vraiment du mal à rentrer, j’étais déjà bien remplie. Mais cela ne le découragea pas et il appuya de plus en plus jusqu’à être parvenu à ses fins. Alors là, ce fut une explosion de sensations ! Jamais je ne m’étais sentie aussi pleine ! J’avais l’impression qu’absolument toute la surface de mes parois internes était stimulée en même temps. Le temps qu’ils s’habituent eux même à la situation, ils restèrent immobiles, mais cela ne m’empêcha pas de jouir bruyamment, comme une bonne chienne en chaleur beuglant son plaisir sans retenue tellement c’était bon de n’être considérée que comme un ensemble de trous à bites, un vide-couilles, une bonne salope de chienne à baiser ! Quand tous se furent vidés, toujours sans savoir le nombre d’hommes qui m’étaient passés dessus, quand tous eurent pissé dans ma bouche, se furent vider les burnes dans un orifice ou sur ma peau, ils partirent tous, ainsi que le vendeur, et ils me laissèrent seule, toujours attachée sur la table, épuisée, salie, souillée certes, mais quel pied j’ai pu vivre ! Je sentais ma peau qui s’étirait sous l’effet du sperme qui séchait. Ça avait duré deux bonnes heures au moins ! J’étais épuisée, ...
... affamée, n’ayant ingurgité que de l’urine. J’avais mal à la tête à cause de ma tête ballottant toujours dans le vide, et je ne tardais pas à m’évanouir.
Quand je me réveillais, j’étais sur le sol, un drap me recouvrait. Mais j’étais tout de même attachée, les poignets et les chevilles ensemble. Peu de temps après, je vis Maijia ouvrir la porte, un biberon à la main.
- Chut, on se tait et on boit !
Et il me fourra la tétine dans la bouche. Ce que j’ingurgitai avait un goût franchement mauvais. Je ne savais ce que c’était, mais ça me donnait la nausée. Cependant cela eut le bénéfice de calmer ma faim. La journée se poursuivit relativement calmement. Je devais restée à genoux devant les toilettes, et dès que quelqu’un entrait je devais garder la bouche ouverte et recevoir urine et sperme, à la convenance de qui venait soit pisser, soit se branler. J’eus même la visite de quelques femmes qui avaient pris connaissance de ma présence et qui avaient osé entrer dans les toilettes hommes. Elles me pissaient dans la bouche, avant d’exiger que je lèche leur chatte jusqu’à les faire jouir et je devais boire leur liqueur. Certaines me branlaient avec frénésie, me pinçaient les tétons… Je mouillais encore et encore d’excitation et eus encore plusieurs orgasmes malgré la fatigue… Quand j’entendis, enfin, la voix de Monsieur le Marquis d’Evans, je me sentis soulagée et d’un coup très faible, et je l’avoue, un peu honteuse de l’état dans lequel je me trouvais.
- J’ai essayé votre soumise ...