Une si brave épouse 1
Datte: 02/11/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Accent, Source: Hds
... jusqu'au cul. Ouah !!! Merci d'avoir fait ça pour moi. Allez, descends, plie les jambes, pose-toi pour que je lèche. Hum
Elle est disponible, mes doigts ouvrent l'antre, étirent les grandes lèvres, séparent les nymphes, ma langue parcourt ls parois roses d'arrière en avant , déniche le clitoris, mes lèvres s'en emparent. Je suce, je lèche, Odile fait des petits bonds mais redescend toujours pour m'offrir son bijou. Je mâche, je me goinfre de cyprine, je me réjouis de ses gémissements, des manifestations de son contentement. Les jeux de la porte ne précéderont pas une pénétration, aussi faut-il fignoler, allonger, sublimer, obtenir les cris révélateurs de l'orgasme en cours. Odile me complimente alors que j'essuie mon visage dans le drap
- Mon Jean, tu es un bouffe-minou inimitable. Personne ne m'a jamais aussi puissamment troublée avec sa langue.
- C'est bien ce que j'espère. Aurais-tu ... Un autre homme aurait voulu me faire concurrence? Quelqu'un a essayé de m'imiter et de te brouter les lèvres?
- Chéri, que vas-tu imaginer. Tu es mon seul amour. Tu es le seul homme admis à me sucer le bouton, à glisser sa langue dans le vestibule. Oh! ne détourne pas mes paroles, tais-toi et suce. Oh. Oui, j'aime, encore.... Ah! Ca pique. Le feu du rasoir... ça brûle. Jean, je t'en supplie, arrête, cela devient un supplice. Tu veux, on remet à plus tard ? Demain je n'aurai plus mal. Nous ferons mieux, tu pourras me prendre après le baiser sur le sexe. Je meurs d'envie que tu ...
... me possèdes vraiment. Demain...
Je suis bonne pâte."Un tien vaut mieux que deux tu l’auras,L’un est sûr, l’autre ne l’est pas"dit-on. Mais la promesse ne tombe pas dans l'oreille d'un sourd. Je saurai, demain rappeler à Odile son engagement et me servir en mari attentif au bonheur et à la satisfaction sexuelle de son épouse. Pour l'instant je me contente d'un doigtage vaginal sans contact avec les zones en feu. Odile se tient à la tête de lit et gigote au bout de mes doigts et gémit de plaisir. Je l'encourage en admirant honteusement l'épiderme marqué par les points noirs des racines des poils tondus. Je dis, je mens, je n'aime pas cette fantaisie qui me prive de mon plaisir véritable. Je préfère ma femme avec tous ses poils.
Odile, entre deux grosses inspirations, manifeste sa joie de s'être montrée sans la toison où j'aimais perdre mes doigts. Elle se sent neuve, jeune et donc belle. Pour moi, elle le jure, elle soignera encore plus son apparence. Un mari ne doit-il pas toujours être fier de son épouse ? Elle regrette d'avoir parfois négligé sa tenue. Mais je dois être persuadé de la voir évoluer, recourir à des artifices féminins pour se mettre en valeur et me faire honneur. Je la laisse parler Ce qui est fait ne peut pas être défait, les poils repousseront; il sera temps alors d'indiquer mes préférences. Ma chérie se conformera à mon avis, heureuse d'avoir expérimenté cette mode.
En rentrant du travail, le lendemain soir, je me réjouis de pouvoir enflammer mon ...