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L'Histoire mène à tout... (3)
Datte: 02/11/2020, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: AlexisPC, Source: Xstory
... auquel j’assiste est merveilleux. Ma mère pousse son bassin à la rencontre de ses doigts qui la labourent doucement, ses seins sont une merveille qu’elle caresse avec douceur, tout en étirant ses tétons successivement. Ses soupirs se font plus rapprochés, mais c’est lorsqu’elle ouvre les yeux et me regarde que ceux-ci se transforment en râles plus sonores. De son côté, ma sœur a empoigné l’un de ses seins et le porte à sa bouche. Elle se suce un téton. Je n’avais jamais vu cela que dans des films pornos avec des actrices siliconées de la tête au pied, loin de la beauté parfaite de ma petite sœur. En passant sa langue sur son téton érigé, elle me regarde droit dans les yeux, comme pour éprouver ma capacité à résister au spectacle. Son autre main caresse rapidement son clitoris et elle passe deux doigts dans sa fente inondée de cyprine. Je n’en reviens pas de ce que je vis. C’est à la fois un rêve et un cauchemar. Il s’agit de ma sœur et de ma mère. Mais elles sont parmi les plus belles femmes que je connaisse. Et elles ne semblent plus avoir aucune pudeur, même vis-à-vis de moi. Le cri de jouissance de ma mère me tire alors de mes réflexions — Oohhhh... que c’est booooon... je jouiiiiiiiiiiis ! Elle se pénètre avec trois doigts qui émettent un bruit ne permettant absolument pas de douter de ...
... la lubrification de sa chatte et elle étire très fort son téton droit. Ce cri semble agir sur ma sœur qui à son tour me permet de connaître son état — Ouiiiiiii... je jouis aussiiiiiiiii... mamaaaaannn ! Ma queue me fait un mal de chien. Je n’en reviens pas. Je vais éjaculer sans même me toucher. Je ne pense pas avoir jamais été aussi excité de toute ma vie. Et c’est à ma mère et ma sœur que je le dois. Ma respiration s’accélère, mon rythme cardiaque doit avoisiner les 150 battements. Je suis vidé comme si je venais de nager pendant une heure. En se calmant, les deux femmes sucent leurs doigts emplis de leurs sécrétions dans un rictus de satisfaction clair. Elles semblent apprécier de goûter à leur cyprine respective. C’est un geste d’un érotisme ravageur. Elles réajustent ensuite leur robe et se lèvent en venant vers moi. Je suis tétanisé sur mon fauteuil. Je n’admettrai pas ce que je ressens à cet instant. Ma mère et ma sœur s’appuient chacune sur le haut de mon transat, l’une et l’autre de chaque côté, se baissant et me permettant ainsi d’avoir une vue plongeante sur leurs seins gonflés de plaisir. Je veux reprendre contenance en déclarant — Eh bien, si papa savait cela, je suis certain qu’il serait ravi. Et ma mère de m’achever en déclarant : — Parce que tu penses qu’il n’y a jamais assisté ?