1. Le dressage de ma cousine Lisa (1)


    Datte: 02/11/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Mimaxxx, Source: Xstory

    ... jolis.
    
    — C’est toi qui dit n’importe quoi, tu m’as dit y a deux secondes que tu les avais à peine vus.
    
    — Si c’est comme ça, montre-les-moi franchement !
    
    Elle rigole, puis en croisant mon air sérieux elle me dit gênée :
    
    — OK mais alors je veux que tu me promettes d’être vraiment honnête avec moi.
    
    — Promis.
    
    Je me redresse pour m’asseoir à mon tour. Je me mets au fond du lit, adossé au mur pour mieux la voir d’en face. Elle retire son tee-shirt timidement pour se montrer à moi. Elle est assise en face de moi, les seins nus, avec sa seule culotte pour l’habiller. Je la trouve splendide. Je n’ai qu’une envie, c’est de me jeter sur elle pour dévorer sa poitrine et la baiser sauvagement. L’idée s’installe de plus en plus dans ma tête. Ma raison m’y interdit.
    
    Je la regarde et lui dis :
    
    — Comment tu peux ne pas aimer ta poitrine ? Je t’assure que je suis vraiment honnête, j’adore tes seins. Y a des gens qui n’aiment pas les petits seins, moi c’est mon cas. La forme de tes seins est belle en plus ! Je te comprends pas.
    
    Elle se précipite vers moi, encore une fois en se penchant, faisant ainsi frôler un de ses seins contre mon bras droit, pour s’asseoir près de moi et me dit en remettant son tee-shirt:
    
    — OK, merci. Ça me fait plaisir. T’es bizarre, mais ça me fait quand même plaisir.
    
    — Pourquoi tu remets ton tee-shirt ? T’as honte ?
    
    — Ben oui, je vais pas rester à poil devant toi !
    
    — Pourquoi pas, maintenant que c’est fait. Ça pourrait t’aider à ...
    ... accepter un peu tes seins.
    
    — OK mais alors tu me montres ta queue.
    
    — T’es ouf toi, c’est pas pareil, t’as ta culotte je te rappelle.
    
    — D’accord, mais tu te mets en caleçon alors.
    
    — Bon, si tu veux.
    
    Me voilà en train de retirer mon jogging. Dans ma tête, une voix me dit : " elle te veut mon gars, c’est fou !" Pendant qu’une autre me dit : "c’est n’importe quoi c’qui se passe. Mec, on se drague clairement entre cousins là !" Je m’en fous et m’assis à nouveau à côté d’elle, adossé au mur en lui tendant son verre qu’elle avait posé. Je lui lance :
    
    — On trinque aux cousins dérangés du cerveau ?
    
    — Aux cousins dérangés du cerveau ! Ça t’embête si j’éteins la lumière par contre.
    
    — Non vas-y
    
    Une fois la lumière éteinte on a continué à parler de sujets plus légers. Nos bras se frôlaient de temps en temps au début, puis ils finissaient par ne plus se décoller. C’était comme si on était tous les deux aspirés par le milieu du lit qui nous forçait à nous coller peu à peu. Au bout d’un moment elle finit par dire qu’elle avait froid, alors on s’est mis sous la couette, toujours dans la même position. Puis, nous avons commencé à parler de son père. Contre toute attente, alors qu’elle paraissait si solide à chaque fois qu’on en parlait, elle a fondu en larme. Touché, je l’ai prise dans mes bras. Je ne savais plus quoi dire, alors je lui ai dit simplement que je ne savais pas quoi lui dire. Elle m’a répondu de ne rien dire et de la garder dans mes bras.
    
    On s’est ...
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