Le dressage de ma cousine Lisa (1)
Datte: 02/11/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Mimaxxx, Source: Xstory
... de plus en plus régulièrement, nous sommes devenus petit à petit très complices. Nous nous donnions même des conseils pour nos histoires respectives. Du haut de mes trente ans, j’ai toujours été surpris de la finesse des analyses qu’elle faisait des situations et j’ai toujours écouté avec beaucoup d’intérêt ses conseils.
Le 24 décembre 2019, après des mois de discussions virtuelles, nous nous sommes enfin revus à l’occasion du réveillon de Noël. Lisa et sa mère, qui est la petite sœur de la mienne, venaient fêter le 24 au soir chez mes parents, avec nous : mon beau-père, ma mère, mon frère et moi, mais également avec les amis de mes parents et leurs deux enfants. Nous étions ravis de nous revoir tous les deux. Nous étions d’autant plus ravis de nous voir, qu’autour de nous il n’y avait pas grand monde d’autre avec qui passer un moment sympa. Les parents parlaient de leur boulot et râlaient contre les grèves de la SNCF pendant que mon petit frère de 16 ans avait enrôlé Cindy et Lucas (16 ans et 14 ans) pour aller jouer à la console dans sa chambre. Une bouteille de rouge sous le bras, on s’est donc très vite éloigné du salon pour aller mourir de froid sur la terrasse du jardin, où on pouvait fumer tranquillement.
On a bu, fumé, rigolé, discuté, puis encore bu, puis encore rigolé. Le temps est passé si vite qu’on n’avait même pas vu qu’il ne restait plus que nous deux de réveillé, et mes parents en train de ranger les dernières coupes. Ma mère me lance :
— Mickael, il ...
... y a Lucas, Cindy et ton frère qui dorment dans la chambre d’amis finalement, donc le mieux c’est qu’avec Lisa vous dormiez dans la chambre de ton frère. Tu n’auras qu’à dormir sur le canapé dans sa chambre comme ça, tu laisses le lit à Lisa.
J’étais ravi de pouvoir continuer la soirée avec elle. On récupère une bouteille de vin, histoire de se donner du courage pour lutter contre la fatigue. Une fois dans la chambre, bien au chaud, on se change rapidement. Pendant que j’enfile un jogging et me mets torse nu, je la vois du coin de l’œil enfiler un tee-shirt immense, puis enlever sa jupe, puis ses collants, puis son haut et son soutien-gorge. On se regarde. Je sens une forme de gêne qui ne s’avoue pas. Je vois bien à travers son tee-shirt que le froid a fait durcir ses tétons mais fait mine de ne rien voir. On exulte tous les deux d’être enfin au chaud. Elle étale son petit corps sur ce lit deux places où je m’invite. Je lui lance :
— Ça te dit de boire encore un verre ? J’ai pas envie de me coucher maintenant. T’inquiète pas, promis après je te laisse ton lit pour toi toute seule.
— Oui grave ! Moi aussi j’ai pas sommeil de toute façon. Je ne m’inquiète pas. A la limite, je préfère même que tu restes là.
Je ne relève pas sa phrase mais elle me trouble. En fait je suis troublé depuis que j’ai remarqué ses tétons dressés. Elle m’attire et pourtant c’est ma cousine. Je me dis qu’il ne faut pas que je lui laisse paraître.
Oubliant toutes ces questions qui flottent ...