1. L'Auto-Ecole (1)


    Datte: 31/10/2020, Catégories: Trash, Auteur: Nobody_12, Source: Xstory

    ... sur mon buste.
    
    _C’est rien Philippe.
    
    Sentir le contact de de ses doigts sur ma poitrine, mes épaules, ma peau, même si c’était à travers un sopalin m’avait fait envie. Cela faisait tellement longtemps que je n’avais pas baisé. Philippe était plutôt grand, bien bronzé, les cheveux grisonnant. Je ne connaissais pas son âge précis mais je m’en fichais, il avait l’air d’avoir de l’expérience. Je sentis des frissons dans le bas de mon ventre. C’était clair, j’avais envie de sexe. Peu importe que Philippe ait juste été maladroit, j’allais tenter le tout pour le tout.
    
    Lorsqu’il revint avec d’autre carré de sopalin, il me trouva le chemisier noir ouvert, laissant une vue imprenable sur mon soutien-gorge rouge. Il resta abasourdi, ne sachant que dire. Je venais de le surprendre, j’avais la main, le pouvoir.
    
    _Ecoute Philippe, ça fait un moment que je n’ai pas été satisfaite par un homme, un vrai. Ça fait tellement longtemps que le simple contact de tes mains sur moi m’a excitée.
    
    J’enlevais mon chemisier et mon pantalon. Je me retrouvais en soutien-gorge rouge comprimant mes gros seins et un string assorti : à croire que j’avais prévu la chose. Philippe ne bougeait pas. Je devais prendre les choses en mains. J’avançais vers lui, enlevant les carrés de sopalins de ses mains et me mettant sur la pointe des pieds pour l’embrasser. Il ne bougeait vraiment pas. Je déboutonnais sa chemise, embrassant son torse, léchant et suçant ses tétons, le caressant, le faisant frémir de ...
    ... mes mains froides. Mes mains arrivaient à son pantalon, embrassant son ventre, pénétrant son nombril avec sa langue. Je défis la ceinture d’un Philippe immobile, déboutonnais le pantalon et le fis glisser. Je l’embrassais du ventre à son torse et le poussais vers son canapé. Il tomba assis et je m’approchais de lui, enlevant son pantalon, le laissant en caleçon.
    
    _Sandra…
    
    Mon prénom dans sa bouche ressemblait à une supplication. J’embrassais à nouveau son ventre et léchais son sexe à travers son caleçon, puis je passais mes doigts dans la ceinture et le tirais avec mes dents. Il soulevait ses fesses pour m’aider le faire glisser et sa queue bandée toucha mon visage. Je ne pensais pas qu’elle serait aussi longue et grosse. A vue de nez, elle devait faire 18 ou 19 cm de long pour 4 cm de large. Le gland était décalotté, en forme de champignon. Je n’ai jamais pu résister à un gland rose : il semble si doux, ils sont si gros, je n’ai qu’une envie, le mettre dans ma bouche. Je donne un premier coup de langue qui fait gémir Philippe. Je m’applique à lécher la queue de Philippe, à branler ce qui ne va pas dans ma bouche d’une main et masser ses couilles bien pleines de l’autre. Je le regardais avec envie, voir s’il aimait et ce fut le cas. Il avait fermé ses yeux, me caressant les cheveux, appuyant sur ma tête pour que je le prenne en bouche.
    
    Je me laissais guider, heureuse qu’il dirige. Quelle ne fut pas ma surprise quand il enfonça sa bite dans la bouche pour que je le suce ...