1. Sucettes du soir


    Datte: 23/04/2018, Catégories: fh, couple, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral 69, pénétratio, fsodo, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... proteste mollement :
    
    — Tu me fais quoi ?
    — Je te prépare pour la suite…
    — Et c’est quoi la suite ?
    
    Je me redresse, je la serre contre moi, lui mettant une main à la fesse qu’elle a nue à présent, et me penchant sur elle, je dis :
    
    — J’ai envie d’un soixante-neuf, je veux goûter à ta chatte baveuse pendant que tu me fais une sucette d’enfer comme tu sais si bien les faire !
    
    Et sans lui laisser placer un mot, je l’embrasse fougueusement !
    
    Peu de temps après, dans notre chambre, nous sommes en train de nous offrir un splendide soixante-neuf, elle allongée sur moi, tandis que je farfouille avec délice son entrejambe détrempé. J’aime boire à sa source, en avoir plein les lèvres, plein la bouche, être enivré de son odeur.
    
    Tout en me suçant divinement, elle remue son bassin, épousant mes lèvres, se frottant carrément dessus sans aucune gêne. Qui cédera le premier ? Elle dans mille petits cris sous ma langue ? Moi en longues salves dans sa bouche ?
    
    Je continue ma dégustation, sa cyprine abondante coulant sur mes joues, se perdant ensuite dans les plis des draps froissés, je fourrage avec délectation sur ses lèvres, entre ses lèvres, autour de son petit bouton sensible. Je sens à certains tressaillements de sa part que je joue bien ma partition ! De mon côté, j’essaye de résister, j’ai envie qu’elle jouisse avant moi ! Alors j’utilise une petite astuce un peu déloyale : je commence à taquiner sont petit trou sombre, en espérant qu’elle n’en fera pas de même pour ...
    ... moi, car dans ce cas, je n’y résisterai pas du tout !
    
    Qui ne dit mot consent. Donc je m’enhardis et c’est la première phalange pleine de cyprine de mon doigt inquisiteur qui s’introduit. Elle frémit, je sais que d’aller la visiter de la sorte l’excite beaucoup dans c’est le bon moment ! Délicatement, je tâte le terrain, exerçant une certaine pression sur la paroi chaude. Je redouble mes efforts tandis que les siens faiblissent. Une seconde phalange vient se planter en elle. Elle gémit doucement sous la caresse de ma langue et l’exploration de mon doigt.
    
    J’amorce un faible mouvement de va-et-vient qui semble beaucoup lui plaire. Alors je me déchaîne, mes lèvres virevoltent dans son sexe détrempé. Elle gémit de plus en plus, je force la dose aussi bien avec ma langue que mon doigt complètement en elle.
    
    — Espèce de saligaud !
    
    Puis elle jouit bruyamment dans mille petits cris si sexy, dans mille soubresauts, tandis que, n’en pouvant plus de mon côté, je me laisse aller, éjaculant mes longues salves, ignorant où celles-ci meurent ! Dans sa bouche ? Sur son visage ? Son cou ? Ailleurs ?
    
    Ça, je le saurais bientôt. En attendant, il n’y a plus que deux corps entrelacés en feu qui jouissent pleinement, abondamment, indifférents au reste du monde…
    
    Le vendredi soir, c’est souvent un peu différent. En effet, comme nous ne travaillons pas le lendemain, ça ouvre diverses perspectives, comme des invitations ou des sorties. Néanmoins, je reconnais que c’est plutôt le samedi ...
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