M.I. SEX - Histoires de Sexe

M.I. SEX

Je suis une espionne en infiltration. Capturée par les services de renseignements, je sais que je suis perdue. Au briefing, on m'avait bien précisé que si j'étais capturée mon pays nierait mes activités.

Pour humilier, l'espionne de l'empire impérialiste capitaliste, il m'entrave nue avec des fers, annihilant toutes velléité d'évasion de ma part.

Je connais mon sort. Il vont tenté par tout les moyens de me faire avouer ma mission d'infiltration et leurs livrer mes contactes. Ils m'empêche de dormir. Je n'ai pas mangé. Je suis épuisée. De jour comme de nuit, ils m'interrogent et m'assomment de questions répétitives. Je ne sais plus trop où j'en suis. Mais grâce à mon entraînement, je résiste à leurs tortures psychologiques. Voilà plusieurs jours que je subis ce traitement et je pourrais pas tenir encore longtemps à ce rythme. Cette nuit, ils viennent comme d'habitude me harceler. Un nouveau tortionnaire est présent.

« Tu vas parler salope de chienne terroriste !! Tu vas avoir le droit au traitement spécial pour les putes de ton genre ! »

Il m'injecte un produit dans le bras et je tombe dans une sorte de torpeur. Je suis malgré tout toujours vaguement consciente. Ils m'attache sur une paillasse dégueulasse, jambes et bras largement écartées. Je suis vulnérable et totalement offerte, incapable de bouger.

Maintenant, les tortures ne sont plus psychologiques.Ils maltraitent mes seins et me pénètrent le vagin avec des objets monstrueux. Je n'étais pas préparée à de ...

... telle tortures. Ma formation m'avait préparée à gérer la douleur mais pas à supporter ces traitements sexuels sadiques. Ils me font subir des chocs électriques en posant des pinces sur mes tétons et mon clito. C'est insupportable. Dans ces conditions, je donne contre ma volonté tous les détails de l'opération.

En attendant de statuer sur mon sort, maintenant qu'ils ont obtenu de moi tout ce qu'ils voulaient savoir, je suis confinée dans une cellule où mes gardiens en profitent pour régulièrement abuser de moi.

Au bout de quelques semaines de ce traitement, curieusement comme une routine, j'arrive presque à prendre du plaisir dans ces rapports sexuels sous la contrainte. Le fait d'être ainsi abusée devient une habitude, comme une seconde nature pour moi. Un jour où un magnat du pays est venu. Je frémis de peur quand je les entends dire :

« Vous pouvez tester la marchandise ! On l'a bien travaillé et elle se soumet à tout ! Une vrai chienne ! »

Il affiche un sourire de tordu et ses grosses mains malaxent sans vergogne ma poitrine et fouillent ma chatte et mon cul.

« Mettez-là dans la cage ! »

Prestement des hommes m'enferment dans une cage étroite et ainsi exposée, ils att****nt un palan et font monter la cage en l'air. Ils rigolent tous de voir leur proie se balancer nue, le regard effrayé.

« Chienne ! Nous avons voulu négocier ta liberté avec ton gouvernement. Mais il semble que tu ne les intéresses pas et qu'il nient même toutes connaissance de tes actes ...