Kisme, notre petite bonne asiate (1)
Datte: 29/10/2020,
Catégories:
Hétéro
Auteur: walter88, Source: Xstory
... Une fois de temps en temps d’abord, puis de plus en plus souvent, puis tous les jours y compris dans mon bureau en regardant ses photos sur son compte Facebook. Et j’ai même été jusqu’à faire des choses qui ne me ressemblent pas et qui me font vraiment honte, comme entrer dans sa chambre pour sentir ses petites culottes sales...
Et c’est à partir de là que notre relation a commencé à devenir vraiment bizarre. Kisme s’est rendue compte qu’elle ne me laissait pas indifférent, à ma façon de lui parler sans doute, de la regarder, de la bichonner en lui facilitant le travail le plus possible. Et ses regards et ses sourires se sont faits moins innocents... Mais de mon côté, il n’était pas question de tenter de la séduire. Je ne voulais pas m’embarquer dans ce genre de liaison. Joy était le type de femme à m’arracher les yeux. Un de ses cousins était gangster, ses oncles flics. Dans son pays, cela revenait au même. Si je me foutais d’elle, elle avait vraiment les moyens de me pourrir la vie... Alors les rôles se sont inversés et je me suis retrouvé dans la peau d’un puceau timide et rougissant. Et Kisme s’est mise à m’allumer de plus belle...
Un dimanche – son jour de repos, elle est allée en ville se faire lisser les cheveux et s’acheter du rouge à lèvres, du mascara et des nouvelles fringues : quelques petites jupes et des hauts bien échancrés, qu’elle a commencé à porter dès le lendemain, en prenant bien soin d’attendre le départ de Joy... Pendant un mois, elle est ...
... venue me foutre ses nichons et ses cuisses sous le nez toutes les cinq minutes, au moindre prétexte, en me regardant avec un air coquin jusqu’à ce que je baisse les yeux. Et elle a commencé a me demander de l’argent, pour que son petit frère “ go to school ” ou pour que sa mère “ go to hospital ”... Un petit billet de temps en temps, jamais des sommes folles. Mais elle avait fait de moi son toutou...
Et tout s’est arrêté brutalement. Une urgence en province. Un collègue qui déconne. J’ai dû aller là-bas et passer un mois sur place... Joy est venue me rendre visite deux fois. J’ai soigneusement évité de demander des nouvelles du petit personnel.
Je n’avais pas fait la connerie de filer mon numéro de portable à Kisme. J’ai donc eu la paix. Mais je me suis paluché tous les jours en pensant à elle et en matant ses photos sur son compte instagram. Des selfies d’allumeuse. Avec sa jolie petite gueule au premier plan mais qui s’arrange quand même pour montrer la naissance de ses seins et ses belles cuisses.
Quand je suis rentré, elle était toujours là, fidèle au poste, habillée et coiffée comme au début : tee-shirt informe, short pas terrible, les cheveux attachés avec des chouchous. Elle s’est tenue tranquille quelques jours avant de recommencer à me tourner autour, sapée sexy et maquillée, quand Joy n’était pas à la maison bien sûr. J’ai mieux résisté cette fois-là parce que je trouvais que ce petit jeu devenait vraiment malsain. Et je savais que ça ne pouvait que très mal ...