Lola, ma première fois ce fut avec mon géniteur... (1) - Histoires de Sexe

Lola, ma première fois ce fut avec mon géniteur... (1)

... avec un homme, même si c’était mon père...

Ce n’était plus pareil, j’avais tellement aimé faire l’amour avec mon géniteur que j’en voulais encore, c’est comme si j’avais du temps à rattraper ou que je sois devenue une nymphomane, et comme je n’arrivais pas à me rendormir. Je décidais de faire un tour sous la couette et d’aller voir s’il n’y avait pas moyen de rallumer la bougie...

Mon père dormait à poings fermés, mais j’arrivais quand même à lui faire dresser sa bite, que je me mis vite à sucer pour en extraire sa liqueur d’amour que j’aimais tant. Après quelques va-et-vient sur sa hampe, celle-ci cracha rapidement sa liqueur que je m’empressais de boire rapidement. Ne voulant pas abuser, je me remis normalement dans le lit, et finalement sans m’en apercevoir, je m’endormis. Le lendemain, il m’arrivait à nouveau la même chose que la veille, je ressentais à nouveau cette chose chaude et dure qui grandissait encore entre mes fesses, mais cette fois-ci, je savais de quoi il était question. Et sans demander à qui que ce soit, je redescendis pour aller prendre la verge de mon père en main et de lui faire une fellation...

Mais je n’eus pas le temps d’aller jusqu’au bout, que mon père était réveillé, et il m’expliqua que généralement, tous les matins, les garçons ou les hommes bandaient automatiquement et que c’est là où elle est la plus dure. Je lui répondis qu’effectivement elle était plus dure que la veille, au soir, et qu’elle était même plus grosse, et que je voulais ...

... encore une fois la sentir en moi, pour voir s’il y avait un changement...

(C’est du moins ce que je donnais comme prétexte, pour à nouveau pouvoir refaire l’amour avec mon père...)

Mon père me dit alors : nous allons essayer une nouvelle position, mais d’abord, il va falloir remettre le chapeau à Popol...

Je lui répondis : ne bouge pas, je vais le chercher.

Puis, je courus dans la cuisine récupérer celui de la veille que j’avais pris le soin de vider et laver pour pouvoir m’en resservir plus tard, je revins et je mis le condom à Popol, ensuite, mon père enleva la couette complètement et il me dit : Grimpe sur le lit, et viens t’embrocher sur Popol.

Trop contente qu’il veuille bien que nous refassions l’amour ensemble, je grimpais rapidement sur le lit et je vins m’empaler sur son pieu. Par contre, cette fois-ci, ce n’était plus mon père qui s’activait dans ma chatte, mais c’est moi qui devais monter et descendre le long de son dard, et comme j’avais mes jambes écartées et à côté des cuisses de mon géniteur, je ne sentais plus autant sa verge en moi, et j’avais beau resserrer mes jambes, ce n’était plus pareil, et pendant que je montais et descendais sur son pieu, mon père me prenait les seins, et les malaxait; puis il triturait mes tétons. J’en eus vite marre et je demandais à mon père de me reprendre lui. Je descendis de sa verge, et je me couchais sur le dos, attendant qu’il vienne me reprendre, il se leva, se mit entre mes jambes, qu’il prit et qu’il mit sur ...