Lola, ma première fois ce fut avec mon géniteur... (1) - Histoires de Sexe

Lola, ma première fois ce fut avec mon géniteur... (1)

... gardé une partie du liquide aspiré de mon vagin en bouche, et il m’en déposa une petite quantité sur ma langue, je pus ainsi goûter à mon tour ce qui coulait dans ma chatte. Au début, je fus choquée, mais vu que je ne pouvais faire autrement que de l’avaler, je l’engloutis rapidement.

Ce n’était pas mauvais, c’était gélatineux, et je dirai que c’était même mieux que le sperme de mon géniteur, que j’avais goûté quelques heures plus tôt ! Puis mon père me posa la question fatidique : veux-tu toujours que je te dépucelle ?

Je lui répondis : évidemment, après ce que je viens de vivre, je ne vais pas faire marche arrière, je veux absolument connaître la suite, jusque-là, je ne sais pas comment c’était pour toi. Mais pour moi, ce ne fut que bonheur et jouissance, et je suis impatiente de connaître la suite. Alors, OUI, papa, fais-moi connaître la suite, et prends ma virginité, je te la donne volontiers.

Après ces mots, mon père se mit entre mes cuisses grandes ouvertes et présenta sa verge sur ma vulve, il fit quelques aller et retour entre mes lèvres vaginales, puis il s’enfonça tout doucement entre celles-ci, jusqu’à ce qu’il rencontre une résistance, puis il me dit : je vais te faire mal à la déchirure de ton hymen, mais c’est inévitable; et après quelques va-et-vient, cela irait mieux pour toi, tu verras. Il n’eut pas le temps de finir sa phrase que je soulevais mon bassin pour aller à l’encontre de son sexe, me déflorant par la même occasion moi-même, et c’est ainsi ...

... que je perdis ma virginité. Mon géniteur resta quelques instants au fond de mon vagin, laissant ainsi le temps aux muscles vaginaux de s’adapter au gabarit du sexe de mon père; puis, après quelques minutes de repos, il commença à sortir et à rentrer en moi, à aller et venir dans mon vagin. Plus il rentrait et sortait, plus cela me faisait jouir et plus j’aimais.

Je lui demandais d’aller plus vite, plus profond, et plus fort, de pousser plus pour que je le sente encore plus profond en moi. Je ne voulais plus qu’il s’arrête, c’était trop bon pour moi, je voulais qu’il me baise comme cela le plus longtemps possible, je sentais comme mes muscles vaginaux enserraient la bite de mon père, c’était incroyablement bon de se sentir remplie par une bite, de sentir ces va-et-vient dans ma chatte, puis je sentis quelques brefs soubresauts, et mon père se retira aussitôt de mon vagin, craignant que je ne tombe enceinte, il eut bien fait, car n’étant pas intéressée par la sexualité jusqu’à ce jour, je ne prenais aucun contraceptif, et donc je risquais de tomber enceinte de mon propre père.

Quand mon géniteur s’est retiré, il déversa tout son sperme sur mon ventre. Je vis alors une sauce gélatineuse, blanche, s’étaler sur mon petit ventre. Comme j’avais déjà goûté à sa substance et que j’aimais son goût, je vins récupérer avec mes doigts le liquide, et je léchai mes doigts pour ne pas en perdre une miette, c’est incroyable comme j’appréciais sa consistance et son goût. Et pour ne rien ...