La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1334) - Histoires de Sexe

La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1334)

... gémir de plaisir. Je sais par habitude que Maitre cherche à ce moment à me donner du plaisir en faisant monter crescendo mon excitation galopante. Mais je ne jouis pas car Maitre ne me l’a pas encore permis et c’est délicieusement douloureux et frustrant mais encore une fois cela m’excite encore plus et je coule de plus en plus ma cyprine. Et quand la phrase libératrice me parvient à mes oreilles, je laisse enfin éclater ma jouissance à Ses mots :

- Jouit, maintenant, Ma salope de chienne, je le veux.

Alors je lâche mes gémissements et mon orgasme que je ne retiens pas et c’est une véritable ‘’jouissance fontaine puissance 10’’ qui explose dans mon être et ce dans des râles libérateurs, dans des plaintes animales et bestiales de plaisirs. Je suis prise de spasmes et je jouis plusieurs fois sans m’arrêter, les orgasmes se succédant parsemés de multiples décharges électriques si jouissives me traversant tout le corps. Une fois finie, il me faut du temps pour reprendre mon souffle et je me blottis contre les pieds de Maitre en guise de remerciement et au même moment Maitre me caresse la tête avec une douceur infinie, dans une tendresse digne d’un grand Mâle protecteur empli de câlins aimants.

- Bonne chienne, bonne chienne. Viens dans mes bras Ma chienne, dans mon lit. Soit consciente de l’honneur que je t’offre. Maintenant je vais t’octroyer un privilège de nouveau que je ne donne pas souvent. Une fois par mois pour commencer tu auras une journée vanille avec tous les droits qu’à une personne libre et tu pourras dépenser ton argent autant que tu le voudras dans du shopping par exemple. Tu es une de Mes favorites Ma kajira, il est normal que je prenne soin de que qui est à Moi. Durant cette journée spéciale, tu pourras faire ce que tu veux ici ou dans ton château alors sache en être digne Ma belle. Cette journée commence dès demain alors dors maintenant. J’ai faire demain, dors, c’est une Exigence...

(A suivre …)