1. JE VOUS EN SUPPLIE... PRENEZ-MOI MONSIEUR...


    Datte: 27/10/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... intéresse ? Fit-elle.
    
    Les hostilités étaient lancées. J’avais chaud aux joues. Sans répondre, je me suis empressé de m’en saisir. Je l’ai scruté quelques instants. Cherchant l’endroit où son sexe avait copulé avec le tissu. Je n’avais plus qu’à la portée à mon nez. L’humant bruyamment, pour qu’elle m’entende.
    
    - Au lieu de vous excitez avec ma culotte, venez plus tôt me rejoindre.
    
    Je poussai la porte et hormis l’odeur âcre, je la découvrais assise nue sur le trône, jambes largement écartées. Ses vêtements pendaient sur la poignet de la fenêtre. Elle détenait des seins ronds, avec de belles auréoles sous ses tétons bandés. Malgré sa position assise, j’ai pu admiré son buisson pubien très long et très étroit montant verticalement vers le ventre et rompant sur les aines. Ses lèvres secrètes étaient légèrement saillantes comme deux langues roses gonflées. Ses cuisses étaient en revanche étonnamment puissantes, larges et musclées. Sa voix se fit tendre :
    
    - Je vous excite, monsieur ?
    
    - Oui, dis-je, la voix rauque.
    
    Il m’en fallait pas plus pour m’isoler avec elle. Fermant la porte, la verrouillant ensuite.
    
    Sans perdre une seconde, elle dégrafa ma ceinture, puis ouvrit mon pantalon et sortit mes parties sexuelles de mon slip. Ma queue était dur à mon faire mal. Elle s’en empara et fit coulisser la peau d’un geste qu’elle maîtrisait parfaitement.
    
    - Vous voulez que je vous branle. Ou alors… préférez-vous que je vous suce.
    
    - Je vous laisse choisir. J’aime ...
    ... tout…
    
    - Ou préférez-vous me la mettre… me baiser.
    
    - Comme madame voudra…
    
    Elle me masturba doucement, avant d’offrir à ma verge ses lèvres. Je sentais son souffle chaud sur mes couilles. Je me laissais conduire, immobile. Elle fit tourner sa langue autour de mon gland tout en serrant mes couilles gonflées à pleines mains. Je sentais mon cœur enfler de satisfaction. Mes yeux s’emplissaient du spectacle qu’elle m’offrait.
    
    Puis pour mon plus grand désarroi, elle me recracha. Puis se leva, m’offrant son dos. Elle se pencha, la tête en appui sur le réservoir du toilette. Son cul de jument tendu vers moi. Rond, ferme tendre. Avec l’aide de ses mains, elle s’écarta ses sphères. Je fis connaissance avec son anus, qu’elle me l’étala, béant, luisant. La coquine avait pris le temps de ce la lubrifiée. Et tranquillement, me proposa :
    
    - Monsieur… veut-il m‘enculer...
    
    Entendre des mots aussi crus dans la bouche de cette femme, fut un choc qui sur le coup, me stupéfia.
    
    - Qu’attendez-vous ? Ça vous dégoûte ? Me lança-t-elle, en me prenant ma main, qu’elle posa sur son ventre, m’invitant à la toucher. J’effleurais la fente du bout de mes doigts. Tartinaient ses grosses lèvres de son propre jus. Les bourrelets de chair se ramollissaient, puis se lubrifièrent d’eux-mêmes. J’empaumais tout le con, malaxais les chairs, pinçais les grandes lèvres.
    
    Elle se mit à dandiner de la croupe en laissant échapper des gémissements sourds. J’effleurai l’anneau de l’anus. Avec le gel, il ...