Mûres17/Brigitte,73ans,salope sur le tard
Datte: 26/10/2020,
Catégories:
Mature,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Inceste / Tabou
Auteur: langauchat, Source: xHamster
A cause de certaines déficiences physiques, et vu son grand âge, Brigitte bénéficiait d'une aide à domicile, qui l'aidait à faire son ménage.
Elle recevait ainsi deux fois par semaine la visite d'une dame portugaise très active, qui devait se demander ce que faisait régulièrement ce jeune homme chez cette vénérable bourgeoise blonde à chignon.
Brigitte dégageait une telle austérité, malgré la finesse de ses traits, elle était si soignée, d'un maintien si hautain, que la dame portugaise ne pouvait soupçonner quelles orgies de sexe venaient de se dérouler dans ce salon bourgeois, quelques instants avant son arrivée.
Brigitte et moi venions de prendre le petit déjeuner. Nous étions en robe de chambre. Comme c'était souvent le cas, je me mis à embrasser Brigitte debout, contre la table de la salle à manger.
Ce matin là, nous étions plus excités que d'habitude. Tout en léchant sa langue, je ne pus m'empêcher de porter la main sur la fente rasée de Brigitte.
Depuis que je lui avais déplumé la chatte, elle appréciait d'autant plus que je lui suçote les grandes lèvres. Je passais plus de temps à faire rouler les doux pétales de sa vulve dans ma bouche assoiffée de vieilles chattes frémissantes.
Elle devait par contre régulièrement maintenir son entre-jambe aussi lisse que celui d'une petite fille. Je surprenais parfois Brigitte dans la salle de bain, se passant un petit coup de rasoir sur la motte, histoire d'entretenir cette douceur envoûtante, si excitante quand ...
... je la maintenais les jambes en l'air, et que je baissais la tête pour voir ma queue lui pistonner la moule, ce qu'elle aimait également contempler.
Comme on peut l'imaginer, je me mis ce matin là à baiser la jolie vieille comtesse en robe de chambre, qui debout contre la table où demeurait les restes de notre petit déjeuner, regarder ma bite s'enfoncer entre ses lèvres lisses et mouillées.
D'un léger mouvement, je la fis asseoir sur le coin de la table. Elle maintint son équilibre solidement pendant que je relevais légèrement ses jambes, de manière à positionner ma queue sur son oeillet. De face, je ne pouvais l'enfoncer très profondément, mais suffisamment pour me faire jouir, qui à me tenir la queue pendant que je ne mettais que le bout.
Sa chatte était suffisamment mouillée pour lubrifier son cul. J'enfonçai par petits coups mon gland encore humide dans le cul de Brigitte, en me tenant la queue, comme je l'avais fait lorsqu'elle se branlait le clito avec un vibromasseur.
Peu de temps après, l'aide familiale vint sonner à la porte.
Toute guillerette, la voix chantante d'amabilité, ma vénérable Brigitte fraîchement enculée, du sperme encore dégoulinant dans sa culotte, vint accueillir la dame.
Brigitte aimait se voir en train de baiser, en train de sucer. Nous sommes plusieurs fois descendus à l'étage inférieur de sa maison, qui était comme une sorte de cave, parce qu'il y avait de grandes armoires aux portes vitrées. Par terre, à même la moquette un peu ...