1. Marie-Pierre et Agnès : le réveillon


    Datte: 26/10/2020, Catégories: fff, inconnu, fête, fsoumise, fdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fdanus, jeu, sm, Auteur: Melifer, Source: Revebebe

    ... continuait ses caresses : deux doigts dans le vagin, pendant que le pouce avait remplacé la langue sur le clitoris. Elle caressa d’abord doucement l’entrée de l’anus, puis récolta un peu de mouille coulant du sexe pour enfoncer, millimètre par millimètre son doigt. Marie-Pierre pinça plus fort les mamelons. Agnès sentit un plaisir immense monter en elle, du fond de son corps, elle tremblait. Sonia approcha sa bouche du clito et reprit son action en le mordillant légèrement. La jouissance partit dans un cri. Un cri du fond de la gorge, long comme une plainte. Agnès tremblait de tout son corps, jamais elle n’avait ressenti jouissance aussi extraordinaire, aussi intégrale. Le plaisir dura plusieurs minutes dans un silence total de l’assemblée accaparée. Puis, ne pouvant supporter aucun attouchement sur son sexe devenu ultrasensible, elle retira d’elle-même les mains de Sonia et descendit du canapé, honteuse.
    
    — Hé, attends, toutou, ce n’est pas fini.
    
    Le rêve-cauchemar continuait. Agnès sentit son cou tiré par la laisse. Aude plaça la petite « chienne » à ses pieds. Elle caressa les cheveux d’Agnès.
    
    — Là, c’est bien, la petite chienne a bien joui, elle est soulagée maintenant, n’est ce pas !?
    
    Tout les actrices s’étaient assises dans le canapé, fortement excitées par les évènements. Sonia, suivant son rôle, s’était placée sur une chaise à côté de sa tante.
    
    — Maintenant, petit toutou, tu vas remercier ma nièce pour le soulagement qu’elle t’a procuré, allez, va lécher ...
    ... ses pieds !
    
    Agnès obéit. Aude lui demanda de remonter doucement avec la langue jusqu’au creux du genou. Agnès s’enhardit, elle devinait où Aude voulait en venir et trouvait là aussi une occasion de se venger de la honte que Sonia lui avait fait subir. Elle remonta de ses mains le bas de la robe afin de dégager les cuisses. Sonia protesta mais Aude, sourire aux lèvres, lui indiqua de se laisser faire : il était normal que la chienne la remercie du plaisir qu’elle avait reçu. Agnès continua de remonter, écartant les cuisses, enfouissant la tête sous la robe pour atteindre le sexe.
    
    — On ne voit rien ! s’exclama Aurélie.
    — Sonia, dis nous ce qu’elle te fait ?
    — Oh j’ai honte ! Elle est en train de me lécher en haut des cuisses, à l’intérieur, là où c’est tout doux… Oh non… elle lèche maintenant ma culotte ! À l’endroit de… de… ça me fait tout drôle, jamais on m’a fait ça ! Ses doigts enfoncent ma culotte dans mon sexe, elle va être toute mouillée !
    — Ce n’est pas grave, va, on la lavera !
    
    L’assemblée éclata de rire. Aude remonta complètement la robe de Sonia pour montrer à l’assistance l’action d’Agnès. La jeune nièce, dans un sursaut de pudeur, voulut empêcher le dévoilement. Mais sa tante l’en empêcha d’une tape sur les doigts. La culotte était maintenant complètement enfoncée dans le vagin. On pouvait voir les lèvres dépasser de chaque côté. Agnès semblait jouer avec le sexe de Sonia, retirant par saccade la culotte emprisonnée. Puis elle plaqua la culotte trempée ...
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