1. Ma 1ère sodomie avec mon amant


    Datte: 26/10/2020, Catégories: Anal Gay Première fois Auteur: nadiatvx, Source: xHamster

    Etudiant mais avec si peu de sous, j’ai dû accepter de partager un gite avec un collègue maçon, Ali, un marocain émigré. Sa baraque est composée d’une pièce, un coin cuisine et un cagibi toilettes.
    
    Nous travaillons dans un chantier de construction où j’étais pointeur. Ali était grand et costaud, poilu, très brun de peau et maitrisant très mal le français, mais bosseur et porté sur le sexe.
    
    Comme il était nettement mieux payé que moi et plus âgé, j’avais 19 ans et lui 40, c’était lui qui faisait les dépenses et moi les travaux : préparation des repas, nettoyage du local, draps, couvertures et même vêtements et bien sûr la vaisselle. Comme il n’y avait qu’un lit, on se couchait côte à côte et même souvent, serrés l’un dans les bras de l’autre.
    
    C’était gênant pour moi mais Ali trouvait que nous nous connaissions mieux ainsi pour nous aider. Il aimait le contact et ça nous réchauffait. « Ma poitrine contre la tienne ou contre ton dos, ça fait fuir le froid », m’a-t-il souvent dit, en se collant à moi. J’étais trop timide pour refuser et ça me réchauffait réellement le corps.
    
    Il avait une nana qu’il ramenait chaque soir, sans faute, vers 17h, lui faisait l’amour pendant une ou deux heures, puis la renvoyait. Moi, j’attendais dehors qu’ils finissent, et je continuais mon travail de cuisine après. Il m’a proposé de m’amener une fille mais j’ai refusé, sans lui avouer que j’étais puceau et que je n’étais amateur que de masturbations solitaires.
    
    Quand nous nous ...
    ... couchions, je sentais l’odeur du sperme de mon ami et le parfum de la fille et cela m’excitait.
    
    Tout marchait bien pendant deux mois. Mais un soir, la fille n’est pas venue et Ali était en rogne. Il ne faisait que se masser la bite à travers sa braguette et il tournait en rond.
    
    « La pute n’est pas venue et mon zob est gonflé ! Je dois baiser pour le calmer ! ». Mais la fille ne venait pas et Ali devenait enragé. Dans son coin de lit, il a même sorti sa bite et il la frottait pour la calmer. Je la voyais du coin de la cuisine mais en douce car Ali commençait à me faire peur. Il répétait : « Il me faut une vulve échaudée ou une terma (un cul) ! ».
    
    Après notre diner vers 21h, en silence, on est allé se coucher comme d’habitude car on doit se lever tôt pour le travail. Face à lui, je voyais qu’il souffrait, alors je lui ai tourné le dos.
    
    Après un moment, j’ai senti sa bite gonflée qui me piquait le derrière. Je me suis écarté et nous étions gênés. Ali s’agitait trop dans le lit et m’empêchait de dormir, alors je le lui ai dit. Il m’a répondu que sa bite a besoin de se soulager. Je lui ai proposé de se branler tout simplement. Il s’est redressé sur le lit, a ressorti sa bite, déjà très gonflée, et a commencé à se masturber devant moi en soufflant : « je baise la chatte et la terma (le cul) ».
    
    Je n’étais pas si bête ou innocent que ça. J’avais saisi que mon ami, à défaut de sa nana, voulait me baiser la terma puisqu’il a répété ce mot plusieurs fois devant moi. Mais je ne ...
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