1. Salle obscure


    Datte: 26/10/2020, Catégories: fh, couplus, extracon, inconnu, Collègues / Travail cinéma, voiture, amour, entreseins, Oral totalsexe, extraconj, Auteur: Lauriolan, Source: Revebebe

    ... contact des doigts caressants de ma femme. J’avais l’impression que cette dernière par le simple fait de me toucher ressentait ce que je ressentais moi-même, ces frissons délicieux qui me traversaient le corps…
    
    Ce n’était pas possible que Manon ne se rende compte de rien. Et en même temps, il m’était impossible de me libérer de ce contact inattendu avec la superbe femme qui se lovait désormais contre moi. Elle repliait maintenant ses cuisses de telle sorte que j’aurais pu croire qu’elle voulait monter sur mes genoux ! Mais l’effet le plus immédiat fut surtout que ma main glissa d’elle-même jusqu’à sa culotte et que je sentis bientôt sous mes doigts à travers le fin tissu, la chaude humidité de son sexe. Au même instant, ma chérie serra ma main plus fort, se pencha vers moi pour m’offrir un baiser sur la joue et sans un mot se leva !
    
    J’étais maintenant convaincu que rien n’avait échappé à mon épouse. Je ne voulais pas la perdre sur un coup de folie absurde. Il fallait que je sorte, que je m’évade de ce rêve éveillé avant qu’il ressemble à un cauchemar ! Alors que j’allais me lever, en me tournant sur la gauche, je vis soudain cette place vide : Le garçon à côté de ma copine avait disparu avec elle !
    
    Je ne sais pas ce qui l’emporta, de l’abattement ou de la rage, de voir ainsi ma femme si rapidement partir au bras d’un autre. Mais les tendresses de ma voisine, auxquelles j’avais répondu jusqu’alors timidement sans trop y croire, j’avais désormais brutalement envie de ...
    ... les devancer. Mais ma sublime partenaire ne m’en laissa pas le temps, elle tourna légèrement la tête et susurra à mon oreille :
    
    — Est-ce que tu veux que je te suce ?
    
    Tout cela ne devait pas être réel : ma femme qui partait en pleine séance avec un autre, cette superbe inconnue qui, joignant le geste à la parole, me proposait une pipe… Pourtant, sa main qui délicatement me caressait entre les jambes ne me laissait maintenant aucun doute. Je ne pouvais pas même ouvrir la bouche, et c’est d’un geste, en dirigeant ses doigts vers mon sexe, que je lui fis sentir (au propre comme au figuré) mon désir pour elle.
    
    Quel bonheur que de voir sa chevelure longue, fine et soyeuse se pencher vers mon entrejambes, et de sentir ses mains habilement libérer ma verge ! Et puis, cette douceur chaude et humide de sa bouche suçant mon gland, qui coulissait bientôt bien profond tout au long de ma bite. Elle me pompait consciencieusement avec lenteur, et je suis incapable de dire combien de temps cela dura. Elle n’abandonna finalement qu’un instant son délicieux labeur pour me glisser doucement à l’oreille :
    
    — Caresse-moi la raie du cul, j’en ai tellement envie…
    
    Elle reprit sa sublime fellation pendant que je soulevais franchement sa jupe pour masser le sillon de son cul et bientôt m’attarder sur sa rosette. Au même moment, elle accélérait les mouvements de sa tête et quand j’introduisis mon pouce dans le trou de son cul, elle commença à se trémousser comme si elle me pompait le pouce ...
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