Investigations
Datte: 26/10/2020,
Catégories:
ff,
toilettes,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
hféminisé,
Transexuels
Oral
uro,
sf,
Auteur: iam.knowbodies, Source: Revebebe
... de nos anti-moustiques.
Et sans plus se préoccuper de ses jérémiades et menaces entremêlées, elles s’enfoncèrent dans la sylve, de nouveau seules. Dès qu’elles furent hors de portée des mâles oreilles, la jeune elfe, encore émoustillée par les attouchements de son amie, ne résista pas au plaisir de l’asticoter quelque peu.
— Dis-moi, Lilya, tu le trouves comment, ce Sylandre ? Il te plaît ?
— Oh Kina, franchement… Oui, je pense qu’il est plutôt beau garçon, dans son genre, mais moi, hein, les hommes… Tu sais bien que je suis plutôt lesbienne, comme fille…
— Heureusement, sinon, Braise et moi, on ferait un peu la gueule…
— Elle approuve des deux ouïes !
— Ah, vous étiez « connectées ». Tant mieux, comme ça on n’aura pas besoin de lui raconter… Elle en est où ?
— Elle vient de s’éjecter. Retrouvailles prévues dans une bonne heure…
— Ça nous laisse le temps de finir les derniers préparatifs.
***
Au plus sombre de la nuit, les trois conspiratrices se retrouvèrent enfin au pied de leur étrange taxi, caparaçonnées dans des scaphandres qui, au sol, n’avaient rien à envier aux boîtes de conserve médiévales. C’est qu’à l’intérieur de l’immense congélateur qui refroidissait « leur » bamkoïa depuis plusieurs semaines, il ne faisait pas chaud…
— On a bien fait de se payer aussi un technicien d’abattage, constata Kina. Regardez comme il a bien fait les choses, le trou d’entrée est tout juste suffisant pour s’y glisser avec notre matériel, et il a réussi à conserver ...
... d’une seule pièce la « trappe ». Une fois remise en place et la protection isotherme posée, même le plus méfiant des acheteurs n’y verra que du feu…
— J’espère bien ! Bon, ne traînons pas, il a dit qu’il déclencherait la phase de pose une heure avant l’aube, ça ne nous laisse pas beaucoup de marge…
Après encore une heure d’efforts, le « palace de ces dames », selon l’expression de Lilya, était aménagé. Leur complice avait excavé dans l’arbre une pièce cylindrique d’environ quatre mètres de diamètre (ce qui laissaient tout de même plusieurs mètres de parois) sur six de haut. Ils la « meublèrent » de deux fauteuils de navettes pour le décollage, diverses bricoles, et quelques stocks d’air, d’eau et de nourriture – et surtout, d’énergie.
Les scaphandres qu’avaient revêtus Braise et Kina étaient du genre « long séjour », ceux dont les constructeurs prétendaient qu’ils pouvaient maintenir en vie un être humain pendant un mois sans aucune assistance, et quasi-indéfiniment s’ils pouvaient être rechargés en énergie. Ils se portaient à même la peau, et disposaient d’une centrale de recyclage capable de produire eau, nutriments et oxygène à partir des déchets corporels, d’une climatisation poussée, et même d’un système de douche par eau pulvérisée… Bien évidemment, ils étaient également extensibles – ils pouvaient à volonté se mouler au corps de leur hôte, ou se transformer en une sphère de deux mètres de diamètre, pour lui donner une illusion de liberté.
Ce qui se faisait de ...