Jeannine (suite)
Datte: 24/10/2020,
Catégories:
Anal
Mature,
Première fois
Auteur: ahtile, Source: xHamster
Nous profitons tous les deux de ce délicieux baiser, elle embrasse avec du douceur et une sensualité inouïe. Nos langues se caressent, s’enroulent, dansent dans nos bouches. Mes mains caressent son dos perlé de minuscules gouttes de sueur. Elles parcourent ses reins, ses flancs, ses hanches et ses fesses, remontent vers ses genoux repliés de part et d’autre de mon torse, en passant par la peau douce de ses cuisses. Je la laisse quelques minutes profiter d’un peu de répit, en laissant, ma queue inerte mais tendue au maximum dans son vagin crispé par la succession des orgasmes, se détendre.
Mes mains la parcourent inlassablement, avant de s’immobiliser sur ses fesses rondes et tendues. Je glisse mes doigts jusqu’à la base de ma verge, et att**** délicatement ses grandes lèvres presque thermoformées autour de ma queue brulante. Et j’entreprends de délicats et lents va et vient. Mes mouvements commencent par prendre de l’amplitude, puis de la vitesse. Jeannine, secouée par le rythme de la pénétration, abandonne ma bouche et vient caler son visage au creux de mon épaule en se laissant aller à des délicieux gémissements. Mon bassin vient percuter ses fesses et l’arrière de ses cuisses par dessous, dans des claquements proche d’applaudissements. Mon membre lubrifié en permanence par le plaisir de Madame, provoque des « floc floc floc » délicieusement excitants. La vitesse soutenue et le rythme que j‘imprime, transforment les miaulements en véritables rugissements de plaisir. Les ...
... mains de Jeannine ont glissé sous mes épaules et ses ongles sont plantés dans ma peau comme s’il s’agissait des griffes d’un chat, d’un tigre, d’une véritable tigresse qu’elle est. C’est quand elle a brutalement relevé la tête qu’elle a recommencer à jouir, en s’écriant :
« Putain que c’est bon, vous allez me rendre folle »
Sans répondre, en la maintenant plantée sur ma queue, je la bascule sur le dos et la tire vers le bord du lit. Me voilà debout, la bite toujours fichée au plus profond de son sexe, elle, sur le dos, les jambes en l’air, ses pieds sur mes épaules. Je contemple son corps, ses gros seins agités par les secousses du coït, ballottent merveilleusement. Ses yeux clos, sa bouche entrouverte d’où sortent des paroles incompréhensibles, son ventre plat, son sexe recouvert d’un petit duvet de poils courts, ses lèvres rouge sang et gonflées par le plaisir de cette longue cavalcade, et mon sexe gluant entrant et sortant de son vagin brulant, m’offre un tableau des plus excitant. J’att**** ses seins, les malaxe sans retenue, pince ses tétons bandés, les fais rouler entre mes doigts puis les tire comme pour lui arracher. La douleur et le plaisir associés ont eu raison d’elle, attrapant un oreiller à portée de sa main, elle vient s’en recouvrir le visage pour étouffer le hurlement de ce nouvel orgasme fulgurant et intervenant seulement, deux ou trois minutes après le précédent. Ces cris partiellement étouffés ne me font pas m’arrêter. Son corps se tord, tremble, je ...