-
Martina
Datte: 24/10/2020, Catégories: Sexe Interracial Hardcore, Auteur: feuillevierge, Source: xHamster
... là que je me suis faite baisée de nombreuses fois par une grande quantité d’homme car je n’acceptais jamais deux rencontres avec le même. La vieille dame me dit un jour discrètement « mais vous vous faites payer ? ». J’ai donc beaucoup joui en utilisant mon corps dans toutes les positions. La seule chose que je n’aime pas c’est la sodomie. Pour tout le reste je demandais et les hommes me satisfaisaient. Avec toute cette expérience j’ai su rapidement ce qui m’excitait le plus et j’en ai vraiment profité. J’aimais les grosses queues bien raides, circoncises c’étaient mieux. J’aimais me faire prendre en levrette et sentir la frappe au fond de mon vagin et sur mes fesses pendant que je me masturbais le clitoris. J’aimais que ça dure longtemps et que l’homme soit épuisé après, en sueur c’était mieux. Les arabes étaient mes meilleurs amants et j’aimais bien quand ils me parlaient dans leur langue en me défonçant car j’imaginais les propos qui me stimulaient le plus. A la maison la situation s’est dégradée car je n’avais plus du tout envie de sexe avec mon mari et les ...
... répercussions sur l’ambiance ont été rapides. Ça a craqué un jour d’engueulade où il me reprochait mon manque d’affection je n’ai pu m’empêcher de lui répondre « moi c’est de virilité dont je manque ». Nous avons divorcé et j’ai commencé une vie de femme libre qui dure encore. J’ai rapidement cessé les aventures sans lendemain et j’ai pris pour amant le patron de ma boite dont je suis devenu l’assistante. Il travaillait beaucoup et avait de gros besoins de décompression. On baisait dans son bureau le soir presque tous les jours avant qu’il ne rentre voir sa femme et ses gosses. C’était lui aussi un sportif en forme, bon skieur, bon nageur. Il me secouait comme je crois qu’il n’avait jamais osé le faire avec sa femme car il voyait que j’aimais ça. En conséquence ma situation s’est améliorée j’ai eu des augmentations puis une promotion. Il m’emmène maintenant en déplacement lorsqu’il voyage pour affaires. Je lui suis devenue indispensable. Le soir je pense des fois à ces hommes d’un jour en me disant que sans doute je peux les croiser dans le quartier sans être capable de les reconnaître.