1. Amélie: fantasme de queue énorme (1)


    Datte: 22/04/2018, Catégories: Hétéro Auteur: Samuel mtl, Source: Xstory

    ... cri.
    
    Le fantasme de ma conjointe prenait vie sous mes yeux ébahis. L’homme, voyant le visage crispé de ma femme qui s’efforçait de s’acclimater à cette queue hors norme, ralentit quelque peu ses ardeurs. Amélie et moi avions un mot code pour tout arrêter, je tendais l’oreille, prêt à mettre fin au coït. Elle ne prononça jamais le mot. Son visage se décontracta lentement, le cri de douleur initial fit place à des lamentations de satisfaction qui montèrent en intensité et en fréquence à mesure que William accélérait la cadence. Sa verge entrait maintenant jusqu’au bout, ses abdominaux claquant sur l’intérieur des cuisses écartées de ma femme à chaque va-et-vient. Comment était-ce possible ? Amélie s’abandonnait complètement, laissant aller de petits cris aigus et intenses annonçant déjà l’orgasme à venir. Ses clameurs caractéristiques annonciatrices de plaisir, je les entendais seulement lorsque je lui stimulais le clitoris avec les doigts, car c’est la seule façon avec laquelle j’ai su la faire jouir durant toutes ces années. Elle ne pouvait, comme beaucoup de femmes, atteindre le nirvana par simple pénétration et pourtant j’avais l’impression qu’il allait y avoir une première fois pour elle aujourd’hui.
    
    L’homme décida de se retirer pour changer de position. Je constatai avec effroi que le préservatif était complètement déchiré. Il n’y avait plus qu’un lambeau de latex qui pendouillait à la base de son membre. Clairement, ma femme et lui s’en étaient aperçus et avaient ...
    ... décidé de s’en foutre. Il poussa l’audace jusqu’à l’arracher pour de bon et le jeta par terre. Sous le choc, je fis un pas vers eux pour intervenir mais devant la résolution de l’homme et l’excitation de ma femme qui lui demandait de revenir en elle au plus vite et de la faire jouir, je figeai. Je ne faisais plus partie de l’équation, je n’avais plus de droit de veto et puis au fond de moi, ma propre excitation me commandait de laisser aller.
    
    Il se positionna à genoux devant elle, l’agrippa de ses deux mains sous les fesses et la tira vers lui en la soulevant avec aisance. Les bras d’Amélie toujours attachés à la tête de lit se tendirent au maximum, elle était son esclave. Il plongea sa bite en elle à nouveau, cette fois, pas de dentelles, il l’a pistonna fermement. Amélie était sur le point de jouir, ses cris augmentaient en ferveur, tout avait été si rapide. Vu l’angle de leur nouvelle position, je voyais maintenant très clairement l’énorme queue entrer et sortir du vagin de ma femme. C’était un spectacle magnifique, malgré son physique délicat, mon épouse était faite pour recevoir un phallus de telle dimension. Je réalisai indéniablement que je n’avais jamais pu et ne pourrai jamais lui offrir une telle satisfaction.
    
    Puis arriva ce qui devait arriver, ses petits cris aigus s’arrêtèrent pour quelques secondes pour être suivi d’énormes cris de jouissance, l’orgasme qui l’envahit était violent. William continuait à la prendre sans ménagement. Pour la première fois je vis ...