1. Fatalisme : M.A.K my life… ou presque FIN


    Datte: 21/01/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: ANDRERP95, Source: Hds

    FIN
    
    L’air frais m’a fait du bien. J’ai marché longtemps. Je ne savais pas où aller. Pas envie d’aller chez mes parents. Et aucun ami. Le numéro du téléphone portable était dans ma poche. Au moins un toit pour dormir. J’ai appelé. Elle a pas eu l’air surpris. M’a donné son adresse.
    
    Elle portait un gros pull et un slip. Rien d’autre.
    
    - Ta femme te laisse sortir un vendredi soir ? Après une semaine d’absence ?
    
    - C’est compliqué actuellement…
    
    - Ça c’est la phrase d’un mec qui va faire une connerie.
    
    - Tu comprends vite toi
    
    - Tu sais, je t’aime bien et je te trouve super mignon mais c’est pas mon genre de casser les couples…
    
    - Aucun risque il est déjà bien cassé….
    
    Un long moment de silence. Elle se mouvait avec une grâce fabuleuse. Le pull cachait le slip et accentuait le côté ultra-féminin de la démarche. J’étais troublé malgré moi. Elle s’est avancée vers moi pour me tendre un verre de soda.
    
    - J’ai pas d’alcool désolée.
    
    J’étais assis sur un lit qui servait aussi de canapé. Je sentais son odeur. La fourche de ses jambes à dix centimètres de ma tête. Je bandais. Je ne sais pas pourquoi, mais je bandais. J’ai levé la tête pour la regarder.
    
    - Excuse moi je vais partir… Je vais prendre un hôtel…
    
    - Un hôtel ? Elle t’a viré ?...
    
    - Non. Non, c’est moi qui suis parti.
    
    Elle s’est encore approchée. Son pull effleurait mon visage. J’ai plaqué mon visage contre son bas ventre. Elle a remonté son pull. Mon visage contre son slip. L’odeur de sa ...
    ... féminité. Tous les évènements de la soirée. Tout se mêlait dans mon cerveau.
    
    - Tu peux rester si tu veux…
    
    Je voulais. J’ai embrassé le fin tissu qui séparait ma bouche de son sexe. L’odeur était affolante. Elle a écarté d’un doigt le slip, me permettant de mettre mon nez dans un friselis de poils noirs. Sa fente était fermée. Humide, chaude, odorante. Elle m’a poussé pour me coucher sur le lit et d’un mouvement souple s’est retrouvée à cheval sur mon visage. Plus de slip.
    
    J’ai dégusté son abricot coulant. Je buvais son miel. Elle se cambrait de plaisir sous mes coups de langue. Dans la position ou j’étais, je ne pouvais rien faire à part utiliser ma langue. C’est elle qui a ouvert son sexe pour me permettre d’aller le plus loin possible. J’ai adoré sa chatte, sa manière de se donner, sa jeunesse, sa beauté, la couleur de sa peau. Je la laissais diriger le rythme de ma langue. Je bandais dur dans mon pantalon.
    
    Et quand elle a jouis, j’ai ressentis un sentiment de victoire incroyable.
    
    Elle s’est couchée à ma droite.
    
    - Wouahhh dit donc ! Tu sais y faire toi ! Comment on peut se passer d’une langue pareille ?...
    
    Son rire cristallin m’a fait rire aussi. Elle s’est collée à moi.
    
    - Et si tu te foutais à poil pour la suite. Tu dois être à l’étroit la dedans.
    
    C’est elle qui m’a déshabillé.
    
    - C’est bien ce que je disais tu étais super à l’étroit…
    
    Ses cheveux ont caressé mes tétons, mon ventre, mon bas ventre, et la moiteur de sa bouche à enserré mon sexe. ...
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