1. L'ombre de Madame


    Datte: 22/10/2020, Catégories: Lesbienne BDSM / Fétichisme Masturbation Auteur: charime, Source: xHamster

    ... Maître Marc, lui, est un homme respectueux. Madame, je vous dois un aveu. Si vous n’étiez pas celle que vous êtes, c’est auprès de cet homme que je me serai soumise sans aucune condition.
    
    - Est-ce à dire qu’avec moi, tu mets des conditions, des limites ?
    
    - Aucunement, Ô ma Maîtresse, rien de tout ça, surtout pas ! Et Madame le sait.
    
    - Oui, elle le sait, ma chérie. Bien, habille-toi, nous rentrons. À ce propos, et ton appartement ?
    
    - Après avoir téléphoné, je peux rendre les clefs dans deux semaines, Madame. Il ne me reste plus qu’à déménager mes affaires.
    
    - Eh bien, nous allons de ce pas y aller et faire le tri !
    
    - Bien Maîtresse. Cependant, je crains que ma richesse ne s’élève qu’à très peu de chose. Certes, je vous ai, ainsi que vos vêtements offerts gracieusement. Mais pour le reste, je ne possède presque rien qui ne puisse me survivre.
    
    - Nous verrons bien. Allons, dépêche-toi !
    
    Devant la porte du petit appartement de Mathilde, cette dernière ressent une honte certaine à lui montrer son logis.
    
    - Mais…toutes ces photos…c’est…
    
    - Vous Maîtresse, uniquement vous. Je vous ai bien dit que je vous aimais depuis le premier jour, celui-là même où vous preniez la place de votre époux.
    
    - Mon dieu, une si grande dévotion et je n’ai rien vu, quel gâchis ma chérie, mais quel gâchis !
    
    - Non Madame, grâce à vous, j’ai pu vous aimer dans le plus grand secret. Voyez ce tiroir, je vous prie.
    
    - Oh, mais tu es une vilaine cachotière, une sale menteuse ...
    ... qui plus est, quand tu me clamais ne jamais te branler. Voyez-moi tout ça, que de l’excellente qualité. Oh et il y a même un joli martinet ! Et là, des menottes ! Tu n’es qu’une petite coquine, ma Mathilde chérie. Remonte ta jupe, que je voie ce que ce martinet fait sur ton cul et tes seins. Oui, le chemisier aussi.
    
    Mathilde se tient debout, le corps à moitié nu et Madame qui s’apprête à la fouetter. Dès le premier coup, les lanières lacèrent la croupe légèrement dodue de Mathilde qui n’émet qu’un divin et léger gémissement. Les autres suivent, tout aussi forts que le premier sans être violents. Elle frappe partout, des seins aux mollets de sa soumise qui ne bronche pas, ne crie pas, ne se contente que de gémir de satisfaction. Oui, si elle rêvait de se faire endolorir, désormais, elle goûte au délice de se faire réellement fouetter par Madame et elle aime ce qu’elle ressent. Madame veut pousser sa chérie à bout, l’entendre hurler et frappe en conséquence. Les coups forcissent. Le corps de Mathilde commence à n’être plus qu’un vaste brasier. Cependant, elle se refuse à crier sa douleur, serrant les dents à chaque coup sur son corps.
    
    Après une bonne dizaine de minutes, Mathilde commence à donner des signes de douleurs sur son visage. Un dernier coup vient zébrer brutalement son sexe et Mathilde hurle en se pliant en deux et tombant à genou.
    
    Madame semble vouloir rester impériale. Elle semble vouloir rester distante devant la souffrance de sa soumise. Mais pourrait-elle ...