Les mystères de l'Asie (4)
Datte: 21/10/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Bobby28, Source: Xstory
... sa femme avait la bouche plaquée contre la chatte de Zhao, il ne résista pas à l’envie de se glisser dans la chambre afin d’en voir encore plus.
Il y avait deux superbes salopes sur son lit conjugal, et le superbe petit cul de Zhao lui faisait envie depuis si longtemps, il avait souvent fantasmé sur le cul de sa nièce, quand elle faisait le service avec lui, mais jamais il n’avait osé faire le moindre geste déplacé, et jamais il n’aurait pu imaginer la voir complètement nue sur son lit en train de bouffer la chatte de sa femme, tandis que celle-ci lui en faisait autant.
Alors une idée complètement immorale et dépravée lui traversa l’esprit, et tout en sortant sa modeste bite, il se dit :
• Pourquoi, ne pas en profiter, après tout, elles étaient en position plus qu’indécente et totalement impudique, s’il les surprenait dans cette position, il pourrait surement les obliger à réaliser ses fantasmes les plus fous.
Alors, à contrecœur, il remballa sa bite bien raide, afin de ne pas paraitre trop suspect, il fit semblant d’entrer dans la chambre, et s’écria :
— Mais qu’est-ce que vous faites, toutes les deux !?
Il ne le cria pas trop fort afin que personne d’autre ne vienne voir ce qu’il se passait dans sa chambre.
Il se dépêcha de fermer la porte et de la verrouiller, sa femme semblait suffoquer, elle avait arrêté de lécher la chatte de Zhao, mais celle-ci qui avait parfaitement vu le petit manège de son oncle dans un miroir de la chambre, elle continua de ...
... fouiller la chatte de sa tante avec ses doigts, en se redressant pour voir qu’est-ce qu’il manigançait.
Meiwan était rouge de honte, aucun mot n’arrivait à sortir de sa bouche couverte de la cyprine de sa nièce, elle sentait encore les doigts de celle-ci coulisser dans sa chatte, et elle avait un mal fou à ne pas gémir de plaisir devant son mari qui venait de découvrir son penchant lesbien.
Elle aurait voulu se cacher dans un petit trou de souris, mais quand elle entendit Zhao répondre à son oncle :
— Tu le vois bien, tonton, on se fait du bien, entre filles.
— Mais vous êtes de belles salopes, toutes les deux ma parole.
— Oui, et je suis sûr que tu meurs d’envie d’en profiter, toi aussi.
L’audace de sa nièce ne faisait qu’exciter davantage, Kun, il ne se demanda pas comment elle avait pu si bien pressentir ce qu’il voulait d’elles.
Mais cette audace fit peur à Meiwan, elle craignait la colère de son mari, ses parents lui avaient rabâché pendant des années qu’elle devait toujours être fidèle à son mari, si elle ne voulait pas connaitre son courroux, et jusqu’à ce jour, elle avait toujours respecté cette doctrine.
Alors quand elle vit, Kun, sortir sa queue raide de son froc et leur dire :
— Tu as raison, petite salope, et c’est toi qui vas gouter à ma queue en premier.
Meiwan était aux premières loges pour voir la bite de son mari, s’enfoncer dans la chatte trempée de sa nièce, où sa langue était plantée quelques secondes avant.
Zhao se mit à ...