Les mystères de l'Asie (4) - Histoires de Sexe

Les mystères de l'Asie (4)

... ses jambes, son entrecuisse était complètement moite, elle n’arrivait plus à penser à autre chose qu’à cette scène totalement obscène.

Elle s’assit derrière le bar, pour essayer de reprendre le contrôle de ses émotions, tandis que Liuyu montait à l’étage afin de présenter Matt à ses parents.

Zhao avait remarqué le trouble de sa tante, et se dit qu’elle pourrait peut-être en profiter, alors elle la rejoignit derrière le bar, et lui dit :

— Ça ne va pas, Meiwan ?

Elle avait un mal fou à reprendre son souffle, son cœur se calmait doucement mais ses jambes étaient encore toutes molles.

Elle essaya de rassurer sa nièce en lui disant :

— Si, si, Zhao, tout va bien, j’ai juste eut une petit malaise.

— Ah bon ?, pourquoi ? demanda Zhao, ignorant complètement que leur tante les avait vu baiser tous les trois, hier soir.

— C’est rien, ça va passer, ne t’inquiète pas.

Mais toujours avec son idée derrière la tête, Zhao, lui demanda :

— Comment tu le trouves le petit copain de Liuyu ? Tu crois que nos parents vont être d’accord qu’elle se mette avec un français ?

Meiwan qui sentait toujours son entrecuisse complètement moite, prit une profonde inspiration, et lui répondit :

— Il est plutôt mignon, mais tes parents ne seront pas d’accord qu’ils restent ensemble, s’il ne respecte pas leurs filles.

Sans s’en rendre compte, elle avait pensé au pluriel, heureusement cela ne s’entendit pas à l’oral, et Zhao ne releva pas.

Mais elle continua :

— ...

... J’espère qu’ils seront d’accord, ce serait sympa de voir un nouveau garçon dans cette famille.

— Oui, ça ferait un peu de changement, c’est sûr, mais espérons que ça ne soit pas en mal.

Elle avait fini sa phrase, un peu pour elle, toute seule, mais Zhao l’entendit et lui demanda :

— Comment ça en mal ?

— Rien, je pensais à autre chose, lui répondit Meiwan, en ayant toujours en tête, les images des trois corps nus sur le lit, en pleine fornication.

Zhao tenta une nouvelle approche pour essayer de sonder un peu sa tante :

— Tu crois qu’ils ont déjà couché ensemble ?

Meiwan fut pris de court, elle ne trouva pas les mots pour répondre à sa nièce, elle sentait son entrecuisse de plus en plus moite, si elle continuait de mouiller autant, elle allait finir par imbiber sa jupe.

Alors sentant le trouble chez sa tante, Zhao insista en lui chuchotant à l’oreille :

— Tu crois qu’il en a une grosse ?

Meiwan n’arrivait pas à sermonner sa nièce, en lui disant qu’une jeune fille ne devait pas parler ainsi. Elle avait la tête remplie par des images de la grosse queue de Matt qui s’enfonçait profondément dans la chatte de Liuyu.

Elle fit un effort surhumain pour lui répondre :

— Peut-être, mais...

Elle ne réussit pas à finir sa phrase, Zhao enchaina :

— Tu crois qu’on risque de les entendre, s’ils couchent ensemble, ici ?

Meiwan n’arrivait plus à sortir un seul mot, sa nièce ne faisait qu’accentuer son trouble, et elle sentit que sa jupe portait déjà les ...