1. Le début de ma dépravation


    Datte: 22/04/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Romainro, Source: Hds

    ... en pyjama et je pars rejoindre ma femme. Elle passe la soirée à me critiquer mais je m’en fous je n’ai qu’à fermer les yeux pour revivre mon expérience aux toilettes de la gare et être bien. Plus la soirée avance plus elle se calme mais la bouteille de vin se vide aussi rapidement.
    
    Quand nous allons nous coucher je suis très étonné parce qu’elle se colle contre moi. Nos caresses deviennent plus intimes même si je ne la sens pas motivée, je m’en fous je me refait ma fin de journée et ça me suffit pour prendre un plaisir fou. Je jouis dans son sexe en la prenant en levrette alors que j’imagine que tous les sexes des toilettes de la gare se vident aussi sur nous.
    
    Pendant la nuit je me sens coupable, ma femme à fait un effort et moi j’ai passé mon temps à penser à des sexes d’hommes. S’il y a un dernier espoir je dois le tenter alors je décide de tout faire pour ne pas repenser à cette fin de journée hors norme et je me concentre sur mon mariage.
    
    Le lendemain pour ne prendre aucun risque je décide de prendre un autre chemin pour aller au bureau, comme ça je ne passerai pas devant la gare. La journée se passe bien, sur le retour j’oublie de prendre l’autre chemin, en passant devant la gare je ne m’arrête même pas je suis curieux de savoir comment va se passer cette soirée à la maison.
    
    Je ne suis pas déçu, elle rentre super énervée et tard. Le peu de temps que l’on passe ensemble on s’engueule et bien sur aucun rapprochement dans le lit. Les deux jours suivant c’est la ...
    ... même chose aussi bien pour les trajets que pour la situation à la maison. Je passe tout le week-end à réfléchir à nous. Je ne sais pas ce qui me retient de partir sauf que ce n’est pas évident de quitter son premier amour après 15 ans.
    
    Le lundi je passe devant la gare mais je n’y rentre pas, je vais directement rejoindre les collègues au bistro pour un petit café. Le soir sur le retour je suis bien et même si je n’ai pas envie de pisser je décide de rentrer dans la gare. Les toilettes sont beaucoup moins bondés que la dernière fois, il y a même des pissotières de libre. Pourtant quelques hommes attendent.
    
    Je prends place aux urinoirs entre deux mecs, un coup d’oeil rapide de chaque côté, tous les deux se branlent. La bite de gauche ne m’intéresse, le mec bande mou, mais celle de droite… bien raide, bien veinés, elle semble bien dure… ça doit être un régal. Je sens que le propriétaire de se magnifique sexe me regarde.
    
    Je lève la tête et c’est bien le cas, ensuite il jette un regard sur ma queue qui a bien durci et que je branle moi aussi mais sans m’en être rendu compte. Il abandonne sa queue et se tourne vers moi en donnant des petits coups de bassin. Je remarque qu’il a aussi sorti ses couilles de sa braguette.
    
    J’hésite un moment et je me décide à lâcher ma queue pour me tourner face à lui et attraper la sienne. Je le branle tout aussi lentement qu’il le faisait mais en serrant encore plus sa queue que lui. Je le tiens tellement fermement que son prépuces remonte ...
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