1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1151)


    Datte: 21/10/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Conte d'Halloween au Château - (suite de l'épisode précédent N°1150) -
    
    Le fantôme de Marquis avait l’air d’apprécier cette fellation… Il devinait l’application qu’elle y mettait. Il sentait ses lèvres, sa langue. Il sentait l’humidité de sa bouche, sa chaleur. Il sentait aussi son souffle, chaud, rapide et saccadé. Il voyait sa poitrine se soulever à toute vitesse et devinait combien elle le désirait. Soudain, Carole sentit Sa main imposante se poser derrière sa tête sur ses cheveux. Il l'avait laissé œuvrer à sa guise un moment, maintenant il étant temps qu'il reprenne les choses en main, l'art de le sucer correctement comme il aimait. Il l'amena brusquement à prendre totalement son sexe dans sa bouche. Elle hoquetait, souffrant de haut-le-cœur, mais ne se débâtit pas, sentant au fond de son entre jambes un plaisir monté en elle. Il maîtrisait son corps à la perfection et savait qu’il saurait contenir son plaisir. Il éjaculerait quand il en aurait envie, quand il en aurait fini avec elle. Il voulait d’abord savourer les plaisirs de la bouche de la soumise.
    
    - Va te mettre à quatre pattes sur le lit !, perçut-elle à nouveau dans sa tête.
    
    Cette voix qui résonnait dans son esprit était froide et autoritaire mais ne criait pas. Carole obéit, sans réfléchir, trop excitée par la situation. Elle venait de sentir au fond de sa bouche la puissance de la queue du Maître, ce fameux Marquis mystérieux et d’une autre époque et qui sûrement à présent allait lui faire l'amour, ...
    ... allait la prendre, la posséder, prendre possession de son corps et lui montrer sa virilité et son désir en la possédant. Carole était donc à quatre pattes sur son lit, les yeux bandés, entièrement nue, offerte totalement au Maître, Monsieur le Marquis D'Évans qui se tenait debout derrière elle. Elle le désirait comme elle n’avait jamais eu envie de personne. Le spectre jouait avec ses orifices. Elle avait chaud, elle transpirait. Enfin, il s’enfonçait en elle, lui maintenant fermement ses hanches à pleines mains. Elle savourait sa queue qui la pénétrait lentement mais profondément, son ventre venant écraser ses lèvres gonflées. Carole se sentait pleine de lui, comblée physiquement, prise dans une immense vague de plaisir. Elle sentit une grosse différence par rapport à ses anciens partenaires qui eux avaient une verge possédant une chaleur (humaine) naturelle, alors que la volumineuse verge du fantôme était encore plus raide mais excessivement froide comme celle d’un mort (qu’il était d’ailleurs). Mais ce détail n’enlevait en rien l’excitation de Carole, bien au contraire, car elle était si longuement et si profondément pénétrée dans une cadence si effrénée à grands coups de boutoirs puissants que plus d’un vivant se serait déjà essoufflé !
    
    Il la besognait avec ardeur et il prit très vite un rythme rapide, allant et venant profondément en elle avec ardeur, un geste mécanique, précis, mais sans égard. Elle s’agitait aussi, autant que possible, l'invitant à la prendre plus loin, ...
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