1. Babou - chapitre 3


    Datte: 20/10/2020, Catégories: 2couples, couplus, fépilée, caférestau, cinéma, telnet, noculotte, Auteur: Franck, Source: Revebebe

    ... remettre sa jupe en place. Discrètement je jetai un œil à ma droite, l’homme assis à côté de Babou fixait l’écran et cela me fit sourire car il avait aussi sa main sur une des cuisses de sa compagne.
    
    Je regardais le film avec de moins en moins d’assiduité. Je promenais ma main sur la cuisse de Babou, remontais de plus en plus haut pour apprécier la douceur de la peau au-delà des bas. D’un seul coup, les battements de mon cœur s’accélérèrent ! Le dos d’une main avait frôlé la mienne. Mon regard se porta immédiatement sur les jambes de Babou et… oh surprise ! La main qui venait de me frôler appartenait à notre voisin ! J’étais au comble de l’émotion. Babou scrutait l’écran !
    
    D’une légère pression, je l’invitai à ouvrir ses cuisses. Elle répondit immédiatement à ma sollicitation. J’observai son visage. Alors que nos deux mains envahissaient son entrejambe, Babou se mordait légèrement les lèvres. Et là, je jubilais. Etais-je à nouveau en plein rêve ou le fantasme se transformait-il en réalité ? Ma main remontait toujours plus haut pour découvrir que l’endroit tant convoité n’était protégé par aucun rempart et que, pour mon plus grand plaisir, le sexe de Babou était totalement imberbe, d’une douceur divine comme je l’adore. À nouveau, je sentis la main de notre voisin. Sans réfléchir, je lui laissais l’accès à l’abricot doré de ma petite femme. Je portais mon regard sur ses yeux, elle les avait fermés, à l’écoute de son corps. Puis je replongeais vers ses ...
    ... jambes et constatais que cette main inconnue s’était emparée du sexe de Babou pour se lancer dans une exploration des plus précises.
    
    À présent, ses cuisses étaient grandes ouvertes pour permettre à cette main de l’investir totalement. Sa bouche était légèrement entrouverte pour laisser échapper des soupirs. Ma Babou laissait parler son corps et le plaisir l’envahir.
    
    Je n’ai pas besoin de vous dire que je ne regardais plus du tout l’écran. Je songeais à m’intéresser à la compagne de notre voisin pour vérifier si elle avait remarqué l’occupation de son mari. Bien sûr qu’elle avait remarqué, car sa main avait une certaine activité. Oui, elle avait même l’air d’apprécier car elle s’occupait de son mari. Elle avait attrapé la main de Babou et se livrait à un concerto à deux mains sur la hampe de ce monsieur.
    
    J’entendis distinctement le feulement de Babou qui m’apprit qu’elle venait de jouir. J’avais la preuve qu’elle venait de gravir une marche supplémentaire dans l’explosion de sa libération. Elle avait à présent reporté son attention sur l’activité de sa main. Et son voisin inconnu semblait tout particulièrement apprécier, son bassin devançait cette main. Le résultat escompté arriva : des jets blanchâtres jaillirent !
    
    Le film arrivait à sa fin, je serais bien incapable de vous en raconter l’histoire. Nos compagnons de soirée nous proposèrent d’aller boire un verre.
    
    La suite de la soirée, c’est pour une prochaine fois, si vous avez aimé.
    
    Franck 
«123»