La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1330) - Histoires de Sexe

La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1330)

... et que tu es la première concernée, puisque la première outragée.

- Maître, je Vous remercie mais je ne suis qu’une soumise, les seuls outragés sont vous deux, car elle a touché à l’image d’une de Vos soumises.

- Très bonne déduction, mais j’ai besoin de ta présence pour démontrer certains faits à mon Maître d’hôtel. Qu’aurais-tu réclamé comme sanction si tu avais été à la place de cette soumise ayant commis cette faute.

- Tout d’abord Maître, je ne pense pas qu’elle mérite le titre de soumise, même pas celui d’esclave, elle se pense soumise parce que Vous l’avez confié aux pieds de Monsieur Arthur, mais pense avoir le droit à une certaine exclusivité, ce qui n’est pas compatible avec sa position. Je me demande d’ailleurs, dans sa tête, qui appartient à qui.

- Explique-toi, interrompe Arthur ne comprenant pas tout.

- Eh bien Monsieur, avec tout le respect que je Vous dois, je pense qu’elle croit posséder un Maître de substitution tel que vous et non l’inverse…

Le Noble sourit, décidemment cette jeune femme a un très bon sens de l’analyse psychologique de l’humain.

- Ensuite, Maître, sans vouloir présumer de mes compétences, je pense être incapable d’être à la place de cette jeune femme, car j’ai bien conscience que je Vous appartiens et non l’inverse et par conséquent, je ne peux éprouver de jalousie envers des soumises qui seraient plus performantes que moi. A moi de travailler pour devenir meilleure et Vous satisfaire comme il se doit. Si toutefois ...

... j’avais commis cette improbabilité, je n’aurais pu réclamer de sanction, aucune ne permettrait de réparer un tel affront, j’aurais simplement accepté le sort que Vous m’auriez réservé, espérant rester à Votre service certainement dans Votre Chenil comme chienne tout juste bonne à satisfaire Vos chiens les plus méritants. Mais je pense sincèrement que Vous m’auriez simplement rendu ma liberté, certaines fautes sont trop grandes pour être pardonnées.

Le Maître d’hôtel regarde fasciné cette soumise qui analyse avec brio la situation commençant à réaliser qu’il doit peut-être tout simplement se séparer de cette soumise qui n’en est pas véritablement une, en la rendant tout simplement à son propriétaire, Monsieur le Marquis. Ce dernier sourit, satisfait de la réponse de Sa soumise, toujours aussi juste, tout en claquant des doigts pour qu’elle vienne à Ses pieds.

- Alors Arthur, qu’en penses-tu ? demande-t-Il libérant Sa verge de son pantalon pour la présenter devant les lèvres de Sa soumise qui s’empresse de lui prodiguer une fellation digne de ce nom.

- J’avoue Monsieur le Marquis, ne plus savoir quoi en penser, j’ai d’un côté envie de vous la rendre sur le champ car je sais que vous, vous en ferez une bonne soumise digne de ce nom, grâce à votre incroyable savoir-faire et lui ôter toute jalousie et d’un autre côté même si ce serait encore trop doux, qu’elle mérite une véritable sanction enfin, qu’une partie de moi, certainement la plus faible, aimerait trouver une façon de ...