1. Les Bonheurs de Sophie (8)


    Datte: 21/04/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Modianorouge, Source: Hds

    ... Mon dieu ! Il n’y a pas de mots pour décrire ce merveilleux petit cul ! Petit cul de fée ! Quelle fermeté, quel lac de douceur, quelle rondeur. Annoncée par une taille étroite, introduite par une cambrure majestueuse, deux orbes mirifiques que sépare un filon inépuisable ; la rainure comme une scission anatomique promet la plus intense des fissions atomiques. Elle n’est pas encore assez penchée pour qu’il puisse voir, au fond du sillon l’œillet anal. Il appuie donc sa main puissante sur le bas des reins de sa proie, elle n’a d’autre alternative que de se plier à la volonté du mâle. Le tronc de la pucelle s’abaisse de quelques millimètres, il n’en demande pas plus, car la cambrure se creuse d’autant et comme par un effet de levier, la croupe se soulève, se tend, à peine, un peu plus vers lui, vers sa bite dure comme l’acier, suffisamment pour que la chatte aux lèvres roses-brunes, lascives mais closes, se prélasse, indécente au regard, dans sa litière de poiles et que la rainure délivre son secret. Phil en pleurerait. Il sait combien il en coute à l’adorable femelle de dévoiler ainsi ce qu’elle a de plus réservée. Un don inestimable : son con et son anus !!! La raie de la pucelle est particulièrement profonde, elle dessine comme une frontière infranchissable entre la magnifique proéminence des deux globes charnus ; à peine visible au tréfonds de l’étroit passage le petit trou du cul paraît imprenable. Phil se jure à l’instant de relever le défi que lui lance le nœud serré. ...
    ... Dieu que le graal paraît Impénétrable ! L’accès si étroit semble à jamais interdit à la grosse queue de l’étalon en rut. Pourtant en adoptant cette position, elle lui prouve qu’elle est faite pour être enculée. Il ne brûlera pas les étapes. La quête de la béatitude passera d’abord par l’origine du monde. Ce périple inespéré entraîne le regard du mâle au cœur de la forêt noire, à la source de la jouvence éternelle : le paradis fendu, cette fruit-fleur aux pétales forcloses qui attendent d’être butinées pour s’ouvrir à la pénétration, jusqu’au noyaux de toutes les extases. Les lèvres dessinent les contours d’un abricot parfait, joufflu et fendu à cœur, une composition aussi pure ne peut être le fait du hasard ; ce con est l’œuvre d’un artiste génial. Le terreau fertile aura beau être labouré, le mystère restera entier. Alors ne pas se précipiter ! Refreiner l’impulsion de la main qui brûle de palper, de peloter, de masser. Maîtriser ses instincts. Et ainsi lui prouver qu’il est le maître. Il mime donc l’indifférence. Au lieu, comme il en meurt d’envie de flatter la croupe insolence, il se contente de tapoter avec condescendance la tête de l’adorable chose. Jupe troussée sur les reins, culotte baissée sur les cuisses, orifices offerts, rendue à l’état d’objet sexuel, elle frémit, elle vacille, et lui, exerçant avec sérénité son empire :
    
    « Du calme, ma puce. Détends-toi. Ça va bien se passer. Sois courageuse car je ne veux pas t’entendre chouiner. Si tu te plains trop, je rajoute ...