1. Daphné: Esclave sexuelle (Partie 1)


    Datte: 15/10/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: byromane, Source: Literotica

    ... avec un œil salace. « Votre mari va donc vous brouter le minou et quand vous jouirez, je vous baiserais. A vous de jouer mon cher! » dit il en s’écartant de mes cuisses.
    
    Jeff s’agenouilla devant moi et commença son travail. Sa langue glissa entre mes lèvres et me pénétra comme je l’aimais. Je gémis de bonheur surtout lorsqu’il s’attaqua à mon clitoris. Mes hanches commencèrent à rouler sur le bureau suivant la progression de mon plaisir. Je projetais régulièrement mon bassin à la rencontre de sa bouche avide.
    
    -Je vais jouir! » leur dis je.
    
    Aussitôt, Jeff abandonna sa position remplacé aussitôt par Eric, qui me pénétra sans préliminaire. Je criais. Les parois intimes de mon vagin palpitèrent autour du sexe, humidifiant l’éperon de mes liqueurs. Ses mains s’emparèrent de mes chevilles et les souleva le plus possible au-dessus de ma tête, permettant ainsi à son pénis de me pénétrer le plus loin possible. Il commença à aller et venir en moi, alors que mon vagin s’était resserré autour de son engin.
    
    Eric gémit ...
    ... disant qu’il allait venir en moi. Ses coups de boutoir furent plus rapide et plus désordonné. Mon mari me suçait les seins voracement. Je sentis à nouveau l’orgasme arriver et je criais à mon tour lorsque Eric cracha son sperme en moi. Mon corps était plein de spasme pendant qu’il m’embrassait pour la première fois sur la bouche et je soupirais lorsqu’il se retira de moi.
    
    Eric s’empara de mon string et essuya sa queue et mes cuisses de nos deux liqueurs poisseuses.
    
    -Ce n’est qu’un début! » dit il en ramassant sa chemise et sa veste. « J’ai beaucoup de chose à vous apprendre à tous les deux . »
    
    Il quitta alors le bureau après s’être rhabillé, nous laissant reprendre nos esprits.
    
    Cette petite séance avait grandement excité mon mari. Une fois à la maison, j’en étais pour me racheter une robe. On n’eut pas le temps d’atteindre notre chambre. Il déchira ma robe dans les escaliers et on baisa comme des bêtes sur les marches. On remit cela une fois dans le lit. Jamais mon mari ne m’avait aussi bien fait l’amour. 
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